Selon le contexte, le terme – d'origine mandingue – désigne le personnage masqué ou la danse qu'il exécute[2], ou encore l'association secrète, probablement d'origine baïnouk[3], qui régit les rites.
Costume
Son masque est généralement constitué de fibres de rônier[2]. Le danseur tourne autour d'un bâton, fiché dans le sol, qui émerge au sommet du costume[4].
↑Gamble, David P. (2006). The South Bank of the Gambia: Places, People, and Population. Brisbane.
↑ a et bGeneviève N'Diaye-Corréard, « Koumpo », in Les mots du patrimoine : le Sénégal, Archives contemporaines, 2006, p. 315 (ISBN9782914610339)
↑Jean Girard, « Diffusion en milieu diola de l'association Koumpo baïnouk », Bulletin de l'IFAN, série B, 1965
↑(en) Doris Green, « Traditional dance in Africa », in Kariamu Welsh Asante (dir.), African dance : an artistic, historical, and philosophical inquiry, Africa World Press, Trenton (N.J.), 1998, p. 24-25 (ISBN0-86543-197-3)
(en) Ferdinand De Jong, « Trajectories of a Mask Performance : the Case of the Senegalese Kumpo », in Cahiers d'études africaines, vol. 39, no 153, 1999. p. 49-71, [lire en ligne]
Louis-Vincent Thomas, Les Diola. Essai d’analyse fonctionnelle sur une population de basse-Casamance, Dakar, IFAN, Université de Dakar, 1958, 821 p. (Thèse d’État publiée)