Jos Jullien fait ses études classiques à Bourg-en-Bresse, où l’héberge son oncle paternel, puis poursuit des études médicales à l'université de médecine à Lyon. Il commence son internat à l'hôtel-Dieu, dans le service de chirurgie osseuse du chirurgien Louis Léopold Ollier, originaire des Vans en Ardèche. Durant ses années de médecine, il travaille tour à tour avec Raphaël Lépine dans le service de médecine expérimentale, Alexandre Lacassagne, fondateur de l’anthropologie moderne qui occupe la chaire de médecine légale de l’université de Lyon[1].
En 1902, il soutient et publie une thèse en médecine intitulée L'Industrie des gants : Étude d'hygiène professionnelle et de Médecine légale. Il publie, peu après, un essai sur la syphilis en Vivarais[4]. Il épouse le de la même année, à Joyeuse, Camille Mesclon. Dès lors, il installe son cabinet médical à Joyeuse, tout d’abord rue de la Calade puis plus tard dans la maison Mesclon dans la rue Sainte-Anne à Joyeuse, demeure de deux étages qui donne sur l’actuel square François-André. En 1908, dans la continuité de son travail de thèse, il s’essaie à la construction d’un "conformateur manuel", « dans le but d’obtenir pratiquement une fiche reproduisant avec exactitude diverses dimensions de la main, au point de vue anthropologique et anthropométrique »[5],[6]. Malgré ses tâches médicales, le jeune Jos Jullien ne dédaigne pas non plus la politique locale et devient maire de Joyeuse de 1908 à 1912 puis de 1929 à 1944[7].
Il rejoint l’armée le où il est affecté au service de santé militaire en tant qu’officier du corps de santé de l’armée territoriale, avec le grade de médecin aide major de 2e classe.
Mandats politiques
Adjoint au maire de Joyeuse, M. Bonneton, de au (liste du congrès républicain radical)
Maire de Joyeuse du au (liste du congrès républicain radical)
Outre la médecine et la politique, Joseph Jullien a une autre passion : la découverte et l'étude des premiers occupants des bords de l’Ardèche et la Préhistoire[9]. En se fixant à Joyeuse en 1902, après des études à Lyon qui lui ont permis de rencontrer Chantre et Savoye, il entreprend un important travail sur toutes les périodes de la Préhistoire de ce secteur. Comme ses devanciers, il s’intéresse aux cavités et abris (fouilles à l’abri de Vernon, la Baume Grêna, les Bouchets, la Gleisasse ; avec H. Müller à Peyroche 1...), aux dolmens (groupement de Font-Méjeanne). Mais aussi, fait nouveau, il effectue des ramassages sur une quinzaine de sites de surface et même quelques fouilles de “fonds de cabanes” dans les lapiaz à Beaulieu, ce qui était une première pour ce type particulier et caractéristique de sites néolithiques ardéchois[10]. Il publie essentiellement le résultat de ses recherches dans le Bulletin de la Société préhistorique française[11]. Deux publications (Jullien, 1913, 1914) sont des essais de synthèse importants sur le Néolithique ardéchois à l’issue de toutes ces années pionnières. Contemporain de Henri Breuil, il a été marqué par l'œuvre de Jacques Boucher de Perthes.
À l’occasion de son décès, un résumé de cette carrière parallèle est publié dans le Bulletin de la Société préhistorique française :
« Cet ancien Collègue, qui avait démissionné en 1953, vient de disparaître, âgé de plus de 80 ans. Alliant la plus vaste culture à la plus brillante intelligence, il avait consacré les loisirs de sa vie de praticien à l'étude des sujets artistiques et scientifiques les plus divers. Marchant sur les traces des premiers préhistoriens du Vivarais méridional, Jules de Malbos, Ollier de Marichard[12], il étudia à partir de 1906 les grottes, abris sous roche, dolmens, fonds de cabanes et gravures rupestres de cette région. Citons ses fouilles des grottes des Bouchets, de Peyroche, de Cayre-Creyt, du Ranc d'Aven, de la Padelle, de la grotte d'Ebbou, des abris sous roche de Vernon. Le compte rendu de ces recherches, dont certaines faites avec la collaboration de Vial, Müller, Piraud, a été publié dans notre Bulletin (1900, 1912, 1914, 1947), dans les Comptes rendus de l'AFAS (1906, 1907, 1908. 1911), dans ceux de Rhodania (1927), dans la Revue du Vivarais (1908, 1913). J. Jullien rédigea la partie "préhistoire" de L'Histoire du Vivarais de J. Régné (1914)[13]. Mais depuis cette époque, et surtout depuis 1940, le Dr Jullien cessa progressivement de travailler sur le terrain. Un grave accident d'automobile réduisit son activité physique tandis que son esprit s'irritait de l'absence d'une aide officielle dont son originalité et sa causticité se fussent d'ailleurs mal accommodées. Il tente sans succès de créer une école de fouilles à Vallon et de faire classer comme parc national le canyon de l'Ardèche, si riche en stations préhistoriques. Le produit de ses fouilles a été dispersé ; une partie cependant en est conservée aux musées des Vans et de Saint-Étienne[14]. » Franck Delarbre ajoute dans sa rubrique nécrologique que Jos Jullien aurait donné la plus grande partie de ses "collections [archéologiques] au musée qui est au Syndicat d'initiative des Vans"[15].
Il est membre de plusieurs sociétés scientifiques, délégué à la conservation des monuments historiques et aux Beaux-Arts, correspondant de l’Institut et directeur des fouilles d’Alba Augusta[16]. En 1931, il profite du Xe Congrès de Préhistoire de France, pour proposer le lundi une excursion aux stations néolithiques du Gard et de l’Ardèche, Uzès, Joyeuse, le Vié Cioutat[17]. En 1946, il fait le point sur l'état des fouilles d'Alba dans la revue Rhodania[18].
Sa passion pour sa région le conduit à envisager la création d'un « musée Vivarois » au début de l'année 1914 et à publier une brochure sur le sujet[19],[20]. En raison du déclenchement de la Première Guerre mondiale, le projet n'a malheureusement pas de suite.
Première Guerre mondiale
Bataille d'Arras
Le , la France déclare officiellement la guerre à l’Autriche-Hongrie. Des centaines de milliers de jeunes gens répondent alors à la mobilisation générale et s’enrôlent dans l’armée. Jos Jullien fait de même et rejoint le 52e régiment d’artillerie de campagne le où il est nommé médecin aide major de 2e classe (lieutenant) le [21],[22], où il côtoie Gaston Riou. Il participe en cette qualité à la première bataille d'Arras qui débute le . L’armée française tente de déborder l’armée allemande pour l’empêcher de rejoindre la Manche. Après une offensive massive de l’armée allemande, les Français sont contraints de se retirer sur Arras. Cet échec de l’armée française se termine par la prise de Lens le . Les Français réussissent cependant à tenir Arras. Le médecin aide major Jullien se distingue lors de la défense de la ville et obtient la croix de guerre avec une citation à l’ordre de la division le : « Venu volontairement sur la position le , en laissant son médecin auxiliaire à l’échelon ; a donné ses soins sous un violent bombardement à de nombreux blessés, particulièrement des fantassins dont le poste de secours était trop éloigné. »
Le , il intègre le 118e régiment d’artillerie de campagne[21]. Ses supérieurs le notent comme un « médecin major tout particulièrement dévoué. Très actif, très correct, très militaire. Le médecin aide major Jullien remplit, en donnant toute satisfaction, ses fonctions de chef de service du groupe. » Lors de l’offensive en Alsace, le à Wolfesdorf, il est blessé à la face par un éclat d’obus.
Depuis le mois de juillet, l’armée française, soutenue par des divisions de blindés britanniques, tente une percée dans les lignes ennemies lors de la bataille de la Somme. Cette bataille fait partie d’une des plus sanglantes du conflit. Le Dr Jullien est envoyé au front en qualité de médecin[22]. Il est blessé dans la région lombaire par un éclat d’obus à Maurepas le [21]. Il est alors admis à l’hôpital du Val de Grâce no 11 à Paris au mois de septembre et obtient un congé de convalescence d’un mois à partir du . Cet acte de bravoure lui vaut une citation à l’ordre de l’armée le : « Modèle de sang-froid et de bonne humeur tranquille. Toujours en première ligne et prêt-à-porter secours aux blessés, même étranger à son groupe ; a été gravement blessé le , en se portant au secours de canonniers tombés sous un violent bombardement de 210. »
Hôpitaux militaires
Le , il rejoint la 15e division à Marseille et passe au dépôt de convalescence, rue Vaugirard à Paris, le [22]. Il est ensuite mis à la disposition du médecin général de l’hôpital de Toulon le en tant que médecin traitant. Ses états de services pour l’année 1916 sont les suivants : « médecin major d’un dévouement et d’une correction absolus, tout particulièrement apprécié par tout le personnel du groupe. » Le , il est affecté au 14e bataillon des tirailleurs malgaches[23] en formation au camp de Fréjus puis passe au 24e bataillon à la suite de la dissolution du 14e bataillon. Le , il est décoré de la croix de chevalier de la Légion d’honneur pour « faits de guerre ». Ces mois passés dans les hôpitaux militaires lui permettent d’écrire et de publier dans le numéro du de la revue Le Mercure de France un articule intitulé « la guerre et les progrès de la chirurgie » dans lequel il relate les progrès des soins d’urgence réalisés au cours de ces quatre années de guerre[24]. Il est ensuite affecté à un hôpital d'orientation et d’évacuation (H.O.E)[25] et devient médecin chef le . « Le médecin aide major de 1re classe Jullien remplit depuis le 9 avril les fonctions de chef de service médical du 14e bataillon de tirailleurs malgaches ; Zélé, dévoué, très consciencieux, il donne à tous égards satisfaction à son chef de corps. D’une éducation, d’un esprit cultivé, d’un caractère militaire, le Dr Jullien est appelé à rendre de précieux services. »
Il passe médecin major de 2e classe (capitaine) de l’armée territoriale le : « Le médecin aide major de 1re classe Jullien, mérite à tous égards de passer au grade supérieur. Officier très méritant, remplissant ses fonctions de chef de service avec un zèle et un dévouement absolu<r. » Au cours de cette guerre, le médecin major Jullien a fait 49 mois de front en deux séjours, dont le premier fut interrompu à la suite d'une évacuation pour blessures[21],[22]. À la fin de la campagne, Jos Jullien est employé pendant sept mois dans une ambulance et un hôpital d'évacuation (hôpital d'origine d'étapes, HOE). Il s’est révélé comme un « officier très brave et d’une correction absolue. » Il est décoré de la croix de guerre avec étoile d’argent le et palme le et de la Légion d'honneur en 1917. Il est démobilisé le et rendu à la vie civile[26].
Carrière artistique
Au sortir de la grande guerre, Jullien veut faire évader son esprit. À côté de son métier de médecin de campagne (et après avoir fait longtemps de la peinture), il développe un don, qu’il avait toujours pratiqué, celui du dessin. L’éditeur et poète ardéchois Charles Forot (de Saint-Félicien-en-Vivarais), dont il fait la connaissance en 1920, frappé par ce talent, lui conseille de s’essayer à la gravure, où Jullien, d’emblée, excelle. Ce sera d’abord par la technique du bois gravé, où il fait notamment des portraits (Verlaine, Paul-Jean Toulet), mais aussi une série, intitulée Masques, dans laquelle il représente huit personnages de comédie et de tragédie : Bérénice, Faust, Phèdre, Othello, Sganarelle, Scapin, Tartuffe, Don Juan. Puis, par celles de l’eau-forte et du burin. Ses goûts littéraires l’incitent à composer en 1925 des illustrations pour Une saison en enfer de Rimbaud. À la même époque, il dessine et grave une série de portraits d’écrivains, dans laquelle il parvient à se détacher des modéles dont il s’ inspire pour recréer des portraits originaux et personnels : Casanova, Stendhal, Nietzsche, Rimbaud, Ramuz, Anatole France, Pierre Loti, Anna de Noailles, Paul Valéry et bien d’autres. Ces années 1920 sont aussi pour Jullien celles où il orne un grand nombre d’ouvrages, à commencer par ceux des Éditions du Pigeonnier de son ami Charles Forot, puis en agrémentant de dessins La Cigale uzégeoise, revue créée par Georges Gourbeyre. Tout ce côté artistique de Jos Jullien, notamment des années 1919 à 1931, doit être lié à ses inclinations littéraires qui aboutissent, par exemple, à des essais sur le cardinal de Bernis, ainsi que sur Casanova, son auteur préféré avec Stendhal, à qui il consacre deux écrits : Casanova à Nîmes et Casanova à Aix-en-Savoie[27],[28],[29]. Il rencontra ses contemporains Marcel Gimond, Hippolyte Paquier-Sarrasin qui réalise pour lui des vitraux à Joyeuse, Jean Chièze.
Carrière médicale
Jos Jullien s'engage très tôt dans la recherche médicale et publie de nombreux travaux scientifiques[1]. Il fonde deux revues médicales : Le Médecin de campagne et Le Médecin de la famille, et participe en 1931 au deuxième congrès international de pathologie comparée de Paris, lors de l’exposition coloniale internationale.
Lauréat de l'Académie de médecine
Dès le début des années 1930, le Dr Jullien s’intéresse à la brucellose, appelée aussi fièvre de Malte ou fièvre ondulante[1]. Cette maladie est caractérisée par des crises fiévreuses et une infection généralisée avec état septicémique ou fièvre sudorale-algique[1]. Une fièvre ondulante est alors observée. La température du malade augmente par paliers de 0,5 °C jusqu’à 39 °C où elle se maintient pendant une quinzaine de jours pour redescendre graduellement. L'état de fièvre est accompagné de sueurs abondantes et principalement nocturnes, qui possèdent une odeur caractéristique de paille mouillée. Il existe aussi un état de malaise avec courbatures, asthénie, douleurs mobiles… Il concentre, dans un premier temps, ses efforts dans l'étude des différentes formes humaines et animales[30],[31]. Il en détermine les symptômes et les caractéristiques, puis propose des outils diagnostiques novateurs permettant de la différencier de la tuberculose. Il crée à Joyeuse un centre de traitement, qui lui permet de regrouper les malades et d'étudier la maladie plus facilement[32]. En 1933, il publie deux études remarquées dans la presse médicale « Brucelloses et Tuberculoses » dans Paris Médical[33],[34] et « Le dépistage des brucelloses humaines » dans Le Monde médical[35]. Ses recherches sont récompensées en 1934 par la Médaille d'honneur des épidémies décernée par le ministère de l'Hygiène sur proposition de l’Académie nationale de médecine[36], à qui il adresse la même année un livret de 19 pages intitulé Le Centre de traitement de la fièvre ondulante de Joyeuse (Largentière, Mazel – 1934). Il y expose les conditions de fonctionnement du centre qu’il a créé. Il donne des indications circonstanciées sur les procédés de dépistage et de diagnostic utilisés, ainsi que sur les résultats de la mise au point d’un vaccin antimélitococcique. Connu sous le nom de « Paronduline du Dr Jullien », il est destiné à combattre les surinfections et les complications de la fièvre ondulante chez l’homme[37],[38]. Il est présenté en ampoules renfermant, par centimètre cube et à l’état d’émulsion en soluté physiologique, 25 millions de streptocoques et la même quantité d’entérocoques et sera commercialisé par les laboratoires Ducatte (Dr Fernand Ducatte, 191 rue Saint-Honoré et 31 rue des Francs-Bourgeois à Paris), à partir du milieu des années 1930.
À la demande de ses patients, il met au point un Spiroscope[39], un appareil médical « de contrôle, d'entraînement et de gymnastique respiratoires », surnommé « Spiro du Dr Jullien »[40],[41],[42],[43]. « La spirotechnique enrichit le sang, tonifie les nerfs, développe les muscles, favorise le jeu de tous les organes » peut-on lire sur la notice. Il préconise d'effectuer les exercice trois fois par jour, matin, midi et soir afin de permettre chez l'enfant : « un développement thoracique, et une préservation contre la tuberculose » et chez l'adulte une « récupération de l'amplitude respiratoire, séquelles de pleurésie, asthme, trouble cardiaque. »
Du 11 au , il organise et participe en tant que l’un des meilleurs spécialistes dans le domaine au 1er congrès de recherche sur la brucellose chez l’homme et l’animal qui se déroule à Avignon. Les délégués de six pays européens se réunissent pour étudier « le péril social » (terme employé par le Dr Jullien) de la fièvre de Malte, qui fait des ravages non seulement sur les cheptels d'animaux mais aussi sur l’homme. On note la présence du délégué du ministère de la santé publique, du ministère de l’Agriculture, du gouvernement tunisien, de nombreux délégué étrangers, surtout de la région méditerranéenne et en particulier de plusieurs professeurs des universités italiennes, de délégués suisses, ainsi que d’un représentant de l’Office impérial britannique des maladies animales. Plus de 200 congressistes étaient présents. Malheureusement, éclate la guerre de 1939 qui stoppe pour un temps le plan de lutte contre cette pathologie. C’est néanmoins ce premier congrès qui permet de jeter les bases d’une coopération européenne dans ce domaine.
Cofondateur des cosmétiques Biotherm
Au début des années 1940, ses recherches sur la fièvre de Malte l'amènent à proposer les traitements thermaux comme un moyen curatif efficace contre les troubles physiologiques (paralysie, névralgie, névrite…) consécutifs à la brucellose[1],[44]. Ses recherches se concentrent alors sur la crénologie (science étudiant les propriétés curatives des eaux thermales) et la crénothérapie. Il propose la théorie biogène de laquelle dérive l’hydrobiologie thermale. Il démontre qu’il existe dans les eaux thermales des éléments, comme les minéraux, les vitamines et de façon plus inattendue le plancton, qui peuvent jouer un rôle préventif et curatif important : « j’ai déjà réalisé en collaboration avec mon ami Marissal, des mises-au-point originales de récolte et de sélection des éléments planctoniques. »[45]
En 1947, il publie un article sur l'action bactériologique des eaux minérales dans le bulletin de l'Académie nationale de médecine[46].
Ces découvertes entraînent des applications pratiques au laboratoire d’hydrobiologie médicale de Molitg-les-Bains, dans les Pyrénées-Orientales, dont il est le directeur fondateur[1]. Elles permettent des applications en cosmétique et dermatologie par voie cutané et digestive, développées par la gamme Biotherm[47],[48],[49],[50]. C’est à ce titre qu’il participe en au congrès international d’hydrobiologie de Munich.
Il est également l’un des premiers à corréler climats et maladies respiratoires dans un article intitulé « Respiration et Climat » paru dans la Revue de cosmologie[51]. Il est également en avant-garde lorsqu’il parle de l’introduction de la radioactivité dans les traitements anti-cancéreux[52],[53].
Titres et fonctions
Archéologie
Membre de la Société préhistorique française (1908-1956).
Délégué à la conservation des monuments historiques et aux Beaux-Arts auprès du ministre.
Directeur-fondateur de la revue Le Médecin de campagne (1908-1914).
Directeur-fondateur de la revue Le Médecin de la famille (1911-1914).
Correspondant de la revue Le Médecin français (1919-1939).
Membre du Syndicat de la presse scientifique.
Médecin-chef du Centre de traitement de la fièvre ondulante de Joyeuse (1930-1940).
Président de la commission administrative de l'hôpital de Joyeuse.
Organisateur et Secrétaire-général du 1er congrès des brucelloses humaines et animales (1935).
Rédacteur en chef puis Secrétaire des Archives internationales des brucelloses (fièvre ondulante humaine, avortement épizootique) et des maladies communes à l'homme et aux animaux.
Administrateur-fondateur de la société "Le SPIRO" (1936).
Directeur du Centre de prophylaxie des brucelloses (1942-1944)
Jos Jullien, « La céramique de quelques stations préhistoriques du Bas-Vivarais », Revue du Vivarais, vol. XIV,
Jos Jullien, « La société préhistorique de France », Revue du Vivarais, vol. XV,
Jos Jullien, « Essai de programme des études préhistoriques dans le Bas-Vivarais », revue du Vivarais, vol. XVI,
Jos Jullien, « À propos de la survivance des races préhistoriques de la population vivaroise », revue du Vivarais, vol. XXI,
Jos Jullien, « À propos de l’anthropologie des populations du Vivarais », revue du Vivarais, vol. XXI,
Jos Jullien, « Lettre ayant trait à une inscription à déchiffrer », Revue du Vivarais, vol. XVI,
Jos Jullien, « Ethnographie du Vivarais. Récolte et classement des documents. Musée Vivarois », Revue du Vivarais, vol. XXII,
Jos Jullien, Lettre relative au musée Malbosc et au futur musée vivarois, t. XXII, Revue du Vivarais,
Jos Jullien, Rectification à propos d'une découverte et mention d'une nouvelle rubrique vivaroise dans une Revue provençale, t. XXII, Revue du Vivarais
Jos Jullien, Nos collaborateurs tués à l’ennemi : Marc Ollier de Marichard, t. XXIII, Revue du Vivarais,
Jos Jullien, La renaissance des petites industries en Vivarais après guerre, t. XXV, Revue du Vivarais,
Jos Jullien, Un apôtre du retour à la terre au début du XVIIe siècle, Olivier de Serres, t. XXVI, Revue du Vivarais,
Jos Jullien, L'art quaternaire dans la vallée de l'Ardèche, t. LI, Revue du Vivarais,
Société préhistorique de France et Société préhistorique française
Jos Jullien, Note sur les anses de poteries à trous verticaux, t. V, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien et M. Ollier de Marichard, Communication à la Commission des enceintes préhistoriques et fortifications anhistorique sur la dent de Retz, le plateau du Castelas et l’enceinte de Saint Maurice à Beaulieu, t. VI, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Réalisation expérimentale de l'anse céramique dite « en flûte de Pan », t. VI, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Présentation par le Dr Jullien d’un crâne trépané, t. VI, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Un crâne trépané préhistorique, t. VI, Bulletin de la Société préhistorique française,
J. Jullien et A. Vial, Fouille d'un abri sous roche à Vernon (Ardèche), t. VII, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, La détermination chronologique des tessons de poteries, t. VII, Bulletin de la Société oréhistorique française,
Jos Jullien, Enceinte préhistorique de Plèoux, Société préhistorique française,
Jos Jullien, Outil servant à piquer les Meules néolithiques, t. VIII, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Inventaire des mégalithes et des stations préhistoriques du Vivarais. Fouilles diverses dans le Vivarais, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Le Paléolithique du Canton de Joyeuse : instruments amygdaloïdes en quartzite (présentation). Moustérien (atelier de surface) et Magdalénien (abri sous roche), Congrès préhistorique de France, septième session - Nîmes, compte rendu, Compte rendu, bureau de la société préhistorique française, Paris, 1911, p.70-72
Jos Jullien, Les stations néolithiques en plein air du Bas-Vivarais, Congrès préhistorique de France, septième session - Nîmes, compte rendu, Compte rendu, bureau de la société préhistorique française, Paris, 1911, p. 255-259
Jos Jullien, Une pierre à gravure (marelle) à Vernon, t. IX, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Signes symboliques peints ou gravés du Vivarais, t. IX, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Anse néolithique en flûte de pan, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Nouvelles découvertes de stations en plein air : Congrès de Nîmes, comptes-rendus de Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Les stations néolithique en plein air en Bas-Vivarais : Congrès de Nîmes, comptes-rendus de Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, La paléolithique du canton de Joyeuse (Ardèche) : Congrès de Nîmes, comptes-rendus de Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Le paléolithique et les terrasses alluvionnaires du Vivarais, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Le néolithique et les monuments mégalithiques du Vivarais (suite), Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, À propos d’une note sur un mode de cuisson des poteries hallstattiennes, t. X, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Note sur le Préhistorique ardéchois, t. XI, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Annonce d’un projet de barrage sur l’Ardèche, t. XXI, Bulletin de la Société préhistorique française,
Jos Jullien, Note sur l’École technique de préhistoire de Vallon, t. XLIV, Bulletin de la Société préhistorique française,
Association française pour l’avancement des sciences (AFAS)
J. Jullien et M. Muller, Fouille d’une grotte fontaine à Beaulieu : Congrès de Lyon, Association française pour l'avancement des sciences,
J. Jullien et M. Muller, Fouille d’une grotte fontaine et d’un fond de cabane, à Beaulieu, Association française pour l'avancement des sciences,
J. Jullien et M. Muller, Fouille d'une grotte-fontaine et d'un fond de cabane néolithique à Beaulieu (Ardèche), Association française pour l'avancement des sciences,
J. Jullien et M. Muller, Fouille d'un fond de cabane à Pléoux, près Beaulieu, Association française pour l'avancement des sciences,
J. Jullien et M. Muller, Fouille d'une grotte-fontaine et d'un fond de cabane au Pléoux, près Beaulieu (Ardèche) : Congrès de Reims, Association française pour l'avancement des sciences, , 11 p.
J. Jullien et M. Muller, Fouille d’une grotte funéraire dans les balmes d’Auriolles canton de Joyeuse (Ardèche), Association française pour l'avancement des sciences,
Jos Jullien, Les dolmens du canton de Joyeuse : Congrès de Toulouse, comptes-rendus de l’AFAS,
J. Jullien, Topographie des stations préhistoriques du Bas-Vivarais, comptes-rendus de l’AFAS,
J. Jullien et M. Vial, Inventaire du canton de Joyeuse (Ardèche) avec plan, photographies et carte, comptes-rendus de l’AFAS,
Jos Jullien, L’évolution des céramiques, comptes-rendus de l’AFAS,
Jos Jullien, Le paléolithique dans le Bas-Vivarais : Congrès de Dijon, comptes-rendus de l’AFAS,
Jos Jullien, Suite de l’inventaire des dolmens du Vivarais, comptes-rendus de l’AFAS,
Jos Jullien, Paléolithique du canton de Joyeuse, comptes-rendus de l’AFAS,
Jos Jullien, Une grotte à peinture (graffiti) et à inscriptions historiques et anhistoriques Caïre-Crés (Vallon), comptes-rendus de l’AFAS,
Jos Jullien, La grotte de Caïre-Crés : congrès de Nîmes, AFAS,
Jos Jullien, Les terrasses de la vallée de l’Ardèche, AFAS,
Jos Jullien, Le paléolithique dans l’Ardèche. Etudes générales., AFAS,
Jos Jullien, Le néolithique de l’Ardèche. Fouille de la grotte de la Padelle, AFAS,
Rhodania
Jos Jullien, Un pied d’équidé gravé sur rocher : Congrès d’Aubenas-Vals les Bains, Rhodania,
Jos Jullien, Fouille de deux dolmens du canton de Joyeuse : Congrès d’Aubenas-Vals les Bains, Rhodania,
Jos Jullien, Une hanche pathologique provenant d’un dolmen de Fontgrase : Congrès d’Aubenas-Vals les Bains, Rhodania,
Jos Jullien et H. Muller, Note sommaire sur les grottes de Peyroche : Congrès d’Aubenas-Vals les Bains, Rhodania,
Jos Jullien et H. Muller, La grotte d’Ebbou (Ardèche) : Congrès d’Alès 1938, de Grenoble 1939 et Avignon 1946, Rhodania,
Jos Jullien et H. Muller, Recherches archéologiques sur l’emplacement de la ville romaine d’Alba Augusta Helviorum : Congrès d’Avignon, Rhodania,
Jos Jullien et H. Muller, Quelques propos sur l’Art quaternaire : Congrès de Nîmes, Rhodania,
Varia
J. Jullien, Ellez (Tunisie), La Nature, no 1317, 27 Aout 1898, pp. 200–201
Jos Jullien, Topographie des stations préhistoriques ou historiques du Bas-Vivarais, Bulletin de la Société archéologique champenoise,
Jos Jullien, Inventaire des dolmens du canton de Joyeuse (Ardèche), Bulletin de la Société archéologique champenoise,
Jos Jullien, « A propos de l'article de M. Locard sur le tatouage chez les Hébreux », Archives de l'Anthropologie Criminelle, vol. 24e,
Jos Jullien, « Découverte d’une station moustérienne au Charnier, commune de Lagorce (Ardèche) », L’homme préhistorique, no 10, , p. 306-310
Jos Jullien, « Le paléolithique dans l'Ardèche. Etude générale », Société d'Anthropologie et de biologie de Lyon, , p. 52
Jos Jullien, « Néolithique dans l'Ardèche. Fouille de la grotte néolithique de la "Pradelle" », Société d'Anthropologie et de biologie de Lyon, , p. 53
Jos Jullien, Fouille de la grotte néolithique de la Pàdelie, L'anthropologie au Congrès de l'Alfas à Tunis en 1913,
Jos Jullien, L'art rustique, Les jours nouveaux, cahier no 8,
Jos Jullien, Fouilles de deux dolmens du canton de Joyeuse, Revue des provinces de France,
Jos Jullien, Préhistoire et Staigraphie, Cahiers d'histoire et d'archéologie (2e cahier) - Éditions de la Maison Carrée,
Chapitre d'ouvrage
Abbé Rouchier, L'Histoire du Vivarais : Chapitre 1. La préhistoire, Largentière, Mazel et Plancher,
Tirés-à-part
Jos Jullien et Hippolyte Müller, Fouille d'une grotte-fontaine et d'un fond de cabane à Beaulieu (Ardèche) : Fouille d'un fond de cabane au Pléoux, près Beaulieu (Ardèche), Association Française pour l'Avancement des Sciences, Imprimerie Chaix, Paris, , 11 p.
Jos Jullien, La Céramique de quelques stations préhistoriques du Bas-Vivarais, Impr. centrale, , 14 p.
Jos Jullien, Essai de programme des Etudes préhistoriques du Bas-Vivarais, Privas, , 11 p.
Jos Jullien, Les Stations néolithiques en plein air du Bas-Vivarais, Le Mans, impr. de Monnoyer, , 8 p.
Jos Jullien, Préhistoire de l'Ardèche, paléolithique, néolithique, âge du bronze (Préface de M. Adrien de Mortillet, professeur d'école d'Anthropologie), Largentière, Mazel et Plancher, , 84 p.
Jos Jullien, Pour un musée Vivarois, Aubenas, Imprimerie Habauzit, , 15 p.
Illustrations
Éditions Le pigeonnier
Edmond Pilon, Olivier de Serres, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au Pigeonnier,
Henri Massis, Le Réalisme de PASCAL, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au Pigeonnier,
Eugène Marsan, Les femmes de Casanova, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au Pigeonnier,
François Thomas, Fresques vivaroises., Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Gabriel-Auguste Faure, Pages lyriques, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Lucien Dubech, La douceur de vivre, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Pierre Benoit, Les guerres d'enfer et l'avenir de l'intelligence, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
François-Paul Alibert, Charles Bordes à Maguelone, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier, ici
Gaston Riou, Epitaphe pour un homme oublié, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Tristan Dereme, Guirlande pour deux vers de Gérard de Nerval, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Vincent D'indy, Six chansons anciennes du Vivarais, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
R. de Pampelonne, SYLVIE ou l'impromptu des trois cœurs, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Daniel Némoz et René Fernandat, Paul Valéry. Essai, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Léon Daudet, A boire et à manger, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Eugène Langevin, Louis le Cardonnel, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Léon Barry, L'aieul, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Albert Flory, Les tercets, poèmes, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier, , 68 p.
Collectif, Almanach Vivarois 1932, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Collectif, Almanach lyonnais no 1 1935, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Collectif, Forez & Vivarais. Itinéraire de l'homme de goût publié : Exposition Internationale de Paris 1937, vol. 1 et 2, Saint-Félicien-en-Vivarais, Comité de la Région XVI bis,
Éditions de la Cigale
Collectif, Almanach De La Cigale, Uzès, Aux Éditions De La Cigale,
Collectif, Almanach De La Cigale, Uzès, Aux Éditions De La Cigale,
Jean Racine, Lettres d'Uzès, Uzès, Aux Éditions De La Cigale,
G Gourbeyre, Contes et légendes d'Uzège, Uzès, Aux Éditions De La Cigale,
Autres éditeurs
Casanova, Le plus bel amour de Casanova, "Les maîtres de la plume" (portrait au burin de Casanova par Jos. Jullien), Éditions Baudinière, , 189 p.
Marius Audin, Pour que son souvenir soit gardé., Imprimerie Marius Audin (Lyon),
Collectif, Joseph Peladan, Nîmes, A. Chastanier imprimeur, Nouvelle revue du Midi, Numéro 10 (spécial),
Henri Colomb, Arcadie (Illustré de 14 lettrines de J. Julien), Nîmes, Jo Fabre - Presses de A. Chastanier - A L'Enseigne De La Fantaisie "Cahiers Du Capricorne no 5", , 53 p.
Collectif, « La Revue fédéraliste », Cahier mensuel de politique et de poésie, Lyon, no 92,
Gabriel Faure, Le Bel Été, Eugène Fasquelle éditeur,
Léon Daudet, À boire et à manger, impr. Taverne et Chandioux, , 93 p.
Paul Goubert, Foucauld, Lyon, Impr.-Libr. de l'Archevêché,
Collectif, Cahiers Vivarois, cévenols et rhodaniens, Vivre, Tome II - 5-,
Collectif, Evocations.Sept poèmes d'Henry Bauquier (hors texte de Jos Jullien), Collection La Rome Française. Chastagnier Frères,
Littérature
Jos Jullien, Mondanités ironiques, p83, Ariste, 1918
Jos Jullien, Un apôtre du "retour à la terre" au début du XVIIe siècle : Olivier de Serres, Aubenas, Impr. Clovis Habauzit, , p. 16
Jos Jullien et André Hallays, Viviers, Saint-Félicien-en-Vivarais, Au pigeonnier,
Jos Jullien, Les métiers. Images et Légendes, Uzès, Aux Editions De La Cigale, (50 exemplaires sur Vidalon teinté à la forme.)
Jos Jullien, Casanova à Nîmes, Rue Boucarie- Uzès, éditions de la Cigale, (300 exemplaires dont 25 sur Vidalon teinté à la forme et 275 sur Montgolfier.)
Jos Jullien, Casanova à Aix-en-Savoie, projet non publié,
Jos Jullien, Les Secrets de Casanova : Seingalt? : in no 1 des Lectures du Médecin, Largentière, E. Mazel éditeur,
Jos Jullien, Les secrets de Casanova : Casanova à Nîmes - Casanova à Aix-en-Savoie (présentation et mise en page de Laurent Jullien), Brignon, Éditions de la Fenestrelle,
Médecine
Jos Jullien, Rétention aiguë d'urine chez un prostatique, Bulletins des praticiens,
Jos Jullien, Superstitions médicales. Notes sur trois pierres médicinales, suivi d'un discussion de M. Müller, t. XI, Bulletins de la Société dauphinoise d'ethnologie et d'archéologie, , chap. 3-4, p. 46
Jos Jullien, Le pansement en chirurgie de campagne, t. XXI, Revue générale de clinique et de thérapeutique: Journal des praticiens, , p. 843
Jos Jullien, Présentation d’un pansement aseptique, Bulletin de la Société médico-chirurgicale de la Drome et de l’Ardèche, , p. 94-97
Jos Jullien, Essai de construction d´un conformateur manuel, t. XXIII, revue Archives d'anthropologie criminelle de médecine légale et de psychologie normale et pathologique, , chap. 172, p. 268-270
Jos Jullien, Les remèdes de bonnes femmes, Le Médecin de la famille. Mensuel illustré. Organe de vulgarisation médicale et scientifique, , chap. 1
Jos Jullien, La becquée humaine, La Chronique médicale, , 223 p., chap. 20
Jos Jullien, De l’emploi des dentifrices contenant des substances aromatiques, Manuel de thérapeutique dentaire spéciale et de matière médicale appliquée à l'art dentaire, , 220-223 p.
Jos Jullien, Études psychologiques sur l'ennui plus lourd que la peur, Mercure de France
Jos Jullien, La guerre et les progrès de la chirurgie, Mercure de France, , 7 p.
Jos Jullien, Traitement des Vomissements de la Grossesse par les Acides aminés, Concours Médical, , chap. 25, p. 691
Tirés à part
Jos Jullien, Industrie des gants, étude d'hygiène professionnelle et de médecine légale, Lyon, A. Storck, , 124 p.
Jos Jullien, Pansements aseptiques stérilisés à l'autoclave à 135-140 degrés,
Jos Jullien, Essai de construction d´un conformateur manuel, revue Archives d'anthropologie criminelle de médecine légale et de psychologie normale et pathologique,
Jos Jullien, Essais de pathologie rurale. La syphilis en Vivarais, Largentière, Editions du Médecin de campagne, Mazel et Plancher, , 7 p.
Articles parus dans Le Médecin de campagne
Jos Jullien, Hygiène au temps passé : L’eau bouillie recommandée comme eau de boisson aux Parisiens en 1761, pour échapper à une épidémie due à l’eau de Seine, Le Médecin de campagne no 1, Vol. 1, , p. 15.
Jos Jullien, Ancienne médecine : Une ancienne ordonnance campagnarde, Le Médecin de campagne no 2, Vol. 2, , p. 55-57.
Jos Jullien, Hygiène rurale : Désodorisation et désinfection des fumiers, par les résidus des appareils à l’acétylène, Le Médecin de campagne no 5, Vol. 2, , p. 179-180.
Jos Jullien, Anthropologie : Un crâne trépané préhistorique, Le Médecin de campagne no 10, Vol. 2, , p. 391-394.
Jos Jullien, Essais de pathologie rurale : La syphilis en Vivarais, Le Médecin de campagne no 10, Vol. 3, , p. 423-430.
Jos Jullien, Les médecins et la loi Roussel, Le Médecin de campagne no 11, Vol. 3, , p. 476-479.
Jos Jullien, Le traitement du cancer inopérable, Le Médecin de campagne no 7, Vol. 4, , p329-334.
Jos Jullien, Le bilan du syndicalisme médical, Le Médecin de campagne no 7, Vol. 4, , p354-361.
Jos Jullien, L’hospice de Joyeuse, antérieurement au XVIIe siècle, Le Médecin de campagne no 8, Vol. 4, , p399-402.
Jos Jullien, L’hospice de Joyeuse, aux XVIIe et XVIIIe siècles, Le Médecin de campagne no 9, Vol. 4, , p461-466.
Jos Jullien, L’hospice de Joyeuse, aux XVIIe et XVIIIe siècles (suite), Le Médecin de campagne no 10, Vol. 4, , p520-525.
Jos Jullien, Création du Nid Médical, Le Médecin de campagne no 12, 4e année, ,p. 586-593.
Jos Jullien, Traitement de la pneumonie par le vésicatoire et l’argent colloïdal, Le Médecin de campagne no 4, Vol. 5, , p170-173.
Jos Jullien, A petite dose, Le Médecin de campagne no 10, Vol. 6, , p471-472.
Jos Jullien, EPIDAURE, revue artistique et littéraire extra médicale, Le Médecin de campagne no 5, Vol. 7, , p212.
Sur la brucellose
Jos Jullien, « Essai de traitement de la mélitococcie humaine par vaccinothérapie non spécifique. Premiers résultats favorables obtenus (avec projection) », Congrès international de pathologie comparée, Masson, vol. 2, no 2,
Jos Jullien, Fièvre ondulante et médecine léagle, Journal de médecine de Lyon,
Jos Jullien et F Ducatte, Les Formes des brucelloses humaines, Marseille, 1er congrès d'hygiène méditerranéenne, résumés des communications, , 13-15 p.
Jos Jullien, Brucelloses et tuberculoses, Marseille, 1er congrès d'hygiène méditerranéenne, résumés des communications, , 40-41 p.
Jos Jullien, Les formes des brucelloses humaines, Paris, Masson, , 11 p.
Jos Jullien, « Les brucelloses », La Médecine,
Jos Jullien, Ascite au cours de la mélitococcie, Société de Médecine de Marseille,
Jos Jullien, Fièvre ondulante et médecine légale, Le journal de médecine de Lyon,
Jullien (de Joyeuse) et Lautier (de Nice), Le traitement de la Mélicoccie humaine par vaccinothérapie non spécifique,
Jos Jullien, Notes sur les procédés d'hémoculture à mettre en œuvre au cours des fièvres ondulantes, Bulletin de l’académie de médecine,
Jos Jullien, Les formes de brucelloses humaines, Presse médicale,
Jos Jullien, Le Dépistage des brucelloses humaines, le monde médical,
Jos Jullien, « Brucelloses et Tuberculoses », Paris Médical, la semaine du clinicien, Paris, J-B Baillière et fils, éditeurs, no 38, , p. 221-229
J. Jullien et G. Pérès, « Comment éteindre un foyer de fièvre ondulante », L’Avenir méd., no 11,
Jos Jullien, Infection mixte par Brucella melitensis et bacilles d’Eberth à type épidémique, Revue de microbiologie appliquée à l’agriculture, l’hygiène et l’industrie, , 20 p., chap. 4
Jos Jullien, La brucellose chronique chez l’homme, Presse médicale, , chap. 23
Jos Jullien, A propos de l'article de Mlle S. Lyon sur la Spondylose Rhizomélique, paru dans le no 101, du 18 décembre 1935 de La Presse Médicale, La Presse Médicale no 1, , 21-22 p.
Jos Jullien et Pierre Laurent, Diagnostic biologique des brucelloses humaines et animales par la floculation des sérums en présence d'un antigène spécifique, Bulletin de l'Académie de Médecine, séance du 28 janvier 1936, 207-212 p.
Jos Jullien, « Prophylaxie de la fièvre ondulante », Le Progrès Médical, no 49, , p. 1898-1904
Jos Jullien, « Sur l’éclosion et la diffusion des brucelloses épizootiques. Passage possible des micro-organismes de l’humus aux invertébrés (annélides), aux végétaux à latex et aux animaux herbivores », Bulletin de l’Académie de Médecine, vol. CXVII, no 11, séance du 16 mars 1937
Jos Jullien, Plan de lutte contre les brucelloses, Bonneville : Impr. Plancher, , 8 p.
Jos Jullien, « Un péril social: les brucelloses », Lyon médical, vol. 50,
Jos Jullien, « Données nouvelles sur les brucelloses. Travail du centre de prophylaxie des brucelloses de Joyeuses », Le sud médical et chirurgical, , p. 36-37
Jos Jullien, « Le traitement thermal des formes chroniques des brucelloses humaines », Rev. Path. comp., , p. 475
Jos Jullien, « Revue de pathologie comparée et d’hygiène générale : À propos des brucelloses humaines et animales », Société de pathologie comparée,
Tirés à part
Jos Jullien, Les Formes des brucelloses humaines, Paris, Masson, , 11 p.
Jos Jullien, Le Centre de traitement de la fièvre ondulante de Joyeuse, Largentière, E. Mazel, , 20 p.
Jos Jullien, Spirotechnique, bréviaire de la respiration, , 20 p.
Jos Jullien, Plan de lutte contre les brucelloses, Bonneville, Impr. Plancher, , 8 p.
Jos Jullien, Un péril social: les brucelloses,
Sur la crénologie
Jos Jullien, « Respiration et Climat », Revue de cosmologie,
Jos Jullien, « La mer et la montagne : Salins-Moutiers », Revue de Cosmobiologie,
Jos Jullien, « L'hydrobiologie thermale », Revue sud-Américaine de médecine et de chirurgie, vol. 77, , p. 419
Jos Jullien, Randelli et Veyron, « Action bactériologique des eaux minérales », Académie nationale de médecine (candidature au prix Capuron),
Jos Jullien, « A propos du vieillissement de certaines eaux minérales, après leur prélèvement », Presse Therm Clim, vol. 85, no 1, , p. 16
Jos Jullien, « Méthodes nouvelles de recherche en crénologie », Avenir Med, vol. 746, no 6, , p. 93
Jos Jullien, « Les méthodes modernes d'analyses biologiques et physico-chimiques en crénologie et en crénothérapie », Med Hyg, Genève, vol. 8, no 169, , p. 152.
Jos Jullien, « Du nouveau sur le traitement des rhumatismes chroniques (vitamines - hormones - crénothérapies) », Avenir Med, vol. 47, no 4, , p. 69-70.
Jos Jullien, « Naissance d'une science : l'hydrobiologie thermale », La Parfumerie moderne, vol. 37, , p. 28-34.
Jos Jullien, « Le laboratoire d'hydrobiologie médicale de Molitg-les-Bains », Avenir Med, vol. 49, no 9, , p. 166-7.
Brevets
Boite à pansement aseptique. Patent FR367283-A ().
Improvements in Aseptic Surgical Dressing Cases. Patent GB190711910-A ().
Spiroscope. Patent FR783105-A ().
Dispositif pour l’étude de la végétation des eaux thermales et la culture sur lesdites eaux. Patent FR900052-A ().
Hommages
En 2010, le galeriste parisien Stephane Rochette retrace la vie et l'œuvre du médecin ardéchois dans un ouvrage publié en collaboration avec les Archives départementales de l'Ardèche : Jos Jullien, une vie gravée en Vivarais (221 pages)[54].
Le , la mairie de Joyeuse inaugure une plaque commémorative sur les murs de sa maison : « Dans cette maison vécut Jos Jullien (1877-1956) médecin, préhistorien, peintre-graveur et maire de Joyeuse 1908-12 et 1929-44[55]. »
Du au , une exposition retraçant la vie du Dr Jullien, Jos Jullien, médecin et artiste à la curiosité universelle, est présentée aux archives départementales de l'Ardèche à Privas. « Cette exposition en 24 tableaux rend hommage à Jos Jullien en s’attachant à la fois à son travail de médecin, de chercheur, à son goût pour la préhistoire, et à sa vie quotidienne à Joyeuse, notamment en tant que maire de la commune, mais aussi en mettant en avant un aspect oublié du personnage, son intérêt pour la littérature, l’écriture, le dessin et la gravure. Ces 24 tableaux sont autant de représentations d’une vie héroïque, celle d’un homme extraordinaire aux multiples facettes »[56],[57].
Le , à l'occasion des journées européennes du patrimoine, l’hôpital local de Joyeuse prend le nom du Dr Jos Jullien.
Du au , la maison Charles Forot, à Saint-Félicien, rend hommage à Jos Jullien à travers l’exposition Jos Jullien, un été chez Forot, qui retrace l'étroite collaboration établie entre Jullien et Forot, aboutissant, en 1920, à la création des éditions du Pigeonnier.
Du au , la médiathèque d'Uzès propose de redécouvrir, à travers l'exposition La Cigale uzègeoise et ses illustrateurs, le travail des nombreux artistes (dont celui de Jos Jullien) qui ont illustré les ouvrages des Éditions de la Cigale (1926-1953) et de La Cigale uzégeoise (1926-1934)[58].
Du au , dans son exposition Cachan comme en 14, la mairie de Cachan rend hommage au soldat Jos Jullien, en présentant notamment ses souvenirs et l'album regroupant ses photos prises sur le champ de bataille entre 1914 et 1918.
↑Jos Jullien, Essai de construction d´un conformateur manuel, t. XXIII, Archives d'anthropologie criminelle de médecine légale et de psychologie normale et pathologique, 15 avril 1908, p. 268-270.
↑Laurent Jullien, Le conformateur manuel Jullien–Souel, un nouvel outil d'anthropométrie médico-légale pour l'identification d'un individu par ses mains, Clystère, no 71, septembre 2020.
↑d'après le Tableau des maires affiché à la mairie de Joyeuse
↑Jos Jullien, bien que démissionnaire en 1944, ne fut jamais un proche ou un admirateur du régime de Vichy. S'il conserve sa mairie entre 1940 et 1944, c'est pour mieux venir en aide à ses concitoyens qui traversent cette période particulièrement difficile. « J’étais parti comme volontaire aux armées de 1914. Mon devoir de Français m’imposait de m’engager dans l’armée en 1939. Démobilisé, j’étais très fatigué et ai donné ma démission de maire, en 1940. Je possède la lettre du Préfet d’alors, M. Hild, qui m’imposait de rester en des termes que je ne pouvais me dérober. Combien d’infortunés se sont alors présentés à la mairie ou chez moi. Repliés, réfugiés, expulsés, étrangers, sans patrie. Dépourvus de maison, de vivres, de vêtements – et les pauvres habitants de Joyeuse, et les prisonniers, les jeunes du travail obligatoire. Je n’ai refusé à personne conseil, appui, secours dans la mesure de mes moyens. Un maire de village est bien peu de chose dans les rouages innombrables des administrations. À chacun j’ai essayé d’éviter quelque peine, ai soulagé de nombreuses misères. » Ces faits ont été attestés par les plus anciens de la commune. D'ailleurs, une fois la guerre terminée, personne ne lui reprocha son attitude, ni un hypothétique rapprochement avec l'occupant. Lors de cette période de troubles, il sera resté intègre et fidèle à ses principes.
↑Odette Gros et André-Charles Gros, « Un pionnier oublié de la préhistoire ardéchoise le docteur Jos Jullien » Ardèche Archéologie, 2005
↑Alain Beeching « Le néolithique de l’Ardèche : repères historiographiques » Cahiers scientifiques -Département du Rhône - Muséum, Lyon, hors série no 3 (2005) - p. 129-142
↑Jos Jullien et H. Muller, « Recherches archéologiques sur l’emplacement de la ville romaine d’Alba Augusta Helviorum » Congrès d’Avignon, Rhodania, 1946
↑Jos Jullien, Casanova à Nîmes, Rue Boucarie- Uzès, éditions de la Cigale, 1930.
↑Jos Jullien, Les secrets de Casanova : Casanova à Nîmes - Casanova à Aix-en-Savoie (présentation et mise en page de Laurent Jullien), Brignon, Éditions de la Fenestrelle, juin 2022.
↑Jos Jullien, « Brucelloses et Tuberculoses » Paris médical, la semaine du clinicien, Paris, J-B Baillière et fils, éditeurs,
↑Jos Jullien, « Le Dépistage des brucelloses humaines » Le Monde médical, 15 mai 1933
↑Bulletin de l'Académie de médecine, 11 décembre 1934.
↑Jos Jullien, « Essai de traitement de la mélitococcie humaine par vaccinothérapie non spécifique. Premiers résultats favorables obtenus (avec projection) » Congrès international de pathologie comparée, vol. 2, Masson, 1931, chap. 2
↑Jullien (de Joyeuse) et Lautier (de Nice) « Le traitement de la Mélicoccie humaine par vaccinothérapie non spécifique » 1932
↑Laurent Jullien, Le spiroscope à eau du médecin-artiste Jos Jullien, de la médecine au bien-être, La nouvelle cigale Uzégeoise, no 12, p 11-16, décembre 2015
↑Laurent Jullien, La notice d’utilisation du spiroscope du médecin Jos Jullien : plus qu’un manuel d’utilisation, une invitation à mieux vivre, Clystère, no 69, p. 21-30, octobre 2019.
↑Jos Jullien, « Respiration et Climat », vol. 3, Revue de cosmologie, 1937
↑Frank Delarbre, « Par ses recherches hydrobiologiques, un savant ardéchois, le Dr Jos Jullien, ouvre à la thérapeutique thermale des horizons nouveaux », Le Dauphiné libéré, décembre 1952
Laurent Jullien, Jos Jullien Un savant ardéchois oublié, Éditions et régions, (ISBN978-2-84794-228-6)
Laurent Jullien, Le centre de prophylaxie des brucelloses, une création dans une période d’incertitude, Cahier de Mémoire d’Ardèche et Temps Présent no 152, p. 99-102, (ISBN9782919146611)
Laurent Jullien, Les dessins du docteur Jos Jullien, des œuvres d’art au service de la médecine, La Nouvelle Cigale Uzégeoise no 23, Lucie éditions, p. 97-105,
Laurent Jullien, Le centre de traitement de la fièvre ondulante de Joyeuse : une réponse à l’épidémie de brucellose des années 30 en Ardèche, Cahier de Mémoire d’Ardèche et Temps Présent no 150, p. 119-124, (ISBN9782919146611)
Laurent Jullien, Le pansement de campagne aseptique Mesclon, premier pansement ardéchois, Revue d’Histoire de la Pharmacie no 408, p. 449-458, (ISSN1775-3864)
Laurent Jullien, Jos Jullien (1877-1956), un médecin-chercheur ancré en Vivarais, L'Almanach Ardèche & Drôme 2021, Editions & Régions La Bouquinerie, p. 87-92,
René Adjémian et Laurent Jullien, La syphilis en Vivarais [à propos de la plaquette de Jos Jullien publiée chez Mazel et Plancher], L'Almanach Ardèche & Drôme 2021, Editions & Régions La Bouquinerie, p. 117-120,
Laurent Jullien, Le conformateur manuel Jullien–Souel, un nouvel outil d'anthropométrie médico-légale pour l'identification d'un individu par ses mains, Clystère no 71, p. 20-33, (ISSN2257-7459)
Laurent Jullien, Le médecin ardéchois Jos Jullien (1877-1956), un savant à la carrière hors norme, Revue d’Histoire de la Pharmacie no 403, p. 381-398, (ISSN1775-3864)
Laurent Jullien, Le spiroscope du médecin ardéchois Jos Jullien, Éditions universitaires européennes, janvier 2017.
Laurent Jullien, Le spiroscope à eau du médecin-artiste Jos Jullien, de la médecine au bien-être, La nouvelle cigale Uzégeoise no 12, Lucie éditions, Nîmes, p. 11-16, (ISBN978-2-35371-974-7)
Franck Delabre, Par ses recherches hydrobiologiques, un savant ardéchois, le docteur Jos Jullien, ouvre à la thérapeutique thermale des horizons nouveaux, t. LX, Dauphiné libéré, .
Archéologie
Odette Gros et André-Charles Gros, Un pionnier oublié de la préhistoire ardéchoise le docteur Jos Jullien, Ardèche Archéologie no 22, p. 50-54,
Alain Beeching, Le Néolithique de l'Ardèche : repères historiographiques., Cahiers scientifiques du Muséum d'histoire naturelle de Lyon. Hors-série, tome 3, 150 ans de Préhistoire autour de Lyon, p. 129-142,
Michel Carlat (dir.), L'Ardèche, Éditions Curandera, coll. « Traditions »,
Docteur J Jullien (nécrologie), Bulletin de la Société préhistorique de France, volume 53, numéro 5-6, p. 264, année 1956.
Franck Delabre, Docteur Jullien (Nécrologie), t. LX, Revue du Vivarais, , p. 120 à 124
Arts et lettres
Stéphane Rochette (sous la direction de Dominique Buis, Marie-Jo Volle, Nathalie Garel), Jos Julien : in Peindre l'Ardèche, Peindre en Ardèche - de la préhistoire au XXe siècle, Privas, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, , chap. 2 (« Peintres du Vivarais, Peintres d'Ardèche »)
Jos Jullien, Les secrets de Casanova : Casanova à Nîmes - Casanova à Aix-en-Savoie (présentation et mise en page de Laurent Jullien), Éditions de la Fenestrelle, juin 2022.
Stéphane Rochette, Les portraits de Verlaine par Jos Jullien, L'actualité Verlaine, regard croisé no 8, juin 2017.
Stéphane Rochette, Jos Jullien dans le Mercure de France, Fragments d'histoire, L'Ardèche dans la grande guerre, Archives départementales de l'Ardèche, Privas, 2014.
Stéphane Rochette, Jos Jullien et ses éditeurs, La Cigale uzégeoise et ses illustrateurs, Les éditions de la Fenestrelle, Nîmes, 2014.
Liliane Jouannet, Des 24 heures de Jos Jullien au Grand voyage de Ramuz, La Nouvelle Cigale uzégeoise no 7, p. 57-60, Lucie éditions, Nîmes, 2013.
Stéphane Rochette, Jos Jullien, une vie gravée en Vivarais, Éditions Archives départementales de l’Ardèche, (lire en ligne)
Charles Forot et Michel Carlat, Jos Jullien, Le feu sous la cendre, le paysan vivarois et sa maison, Au Pigeonnier, p. 1028-1031, 1979.
Gaston Riou, Un maître vivarois du burin : Jos Jullien, Almanach vivarois, 1927
Charles Forot, Jos Jullien graveur, La revue du Siècle, no 1, mars 1925.
« Le Salon des médecins [Jos Jullien] », Revue du Vrai et du Beau, , Arts et Lettres, pp. 8-9.