En , la marque est présente dans 28 pays, principalement européens[2] et affiche un chiffre d'affaires de près de 20 millions d'euros (contre 1 million en 2018)[3],[4].
En septembre de la même année, la direction de la start-up qui revendique alors 3% du marché français réalise une levée de fonds de 10 millions d'euros[5],[6]. L'entreprise emploie alors plus de 50 salariés, vend plus de 3 millions de couches par mois et livre dans plus de 35 pays[7],[8]
Le 10 février 2022, Noo Corp est condamnée pour actes de dénigrement fautif à l'égard de concurrents et d'allégations commerciales trompeuses à l'égard des consommateurs, en prétendant commercialiser des couches « garanties 0 % produits nocifs »[10],[11].
En 2024, Joone signe un partenariat avec Carrefour qui lui permet d'être distribué dans les magasins du groupe[12]
Produits
La marque vend des couches par abonnement et une ligne de soins. Ses cosmétiques sont fabriqués en France[13].
En 2017, elle devient la première entreprise à publier l'analyse toxicologique de ses couches[14],[15],[16].
En , 60 Millions de consommateurs relève des substances « potentiellement toxiques en très faible quantité » dans certaines couches infantiles précisant : « le risque sanitaire semble donc minime a priori »[17]. Joone est la marque la mieux notée[18],[19],[20].
En , une enquête de la DGCCRF relative aux substances présentes dans les couches classe la marque parmi celles les plus saines du marché[21],[22]. La même année, elle rend disponible via son espace client, la traçabilité de ses produits en utilisant la blockchain[23].
En avril 2023, Joone lance la couche anti-inflation à 29 centimes l'unités[24].
Positionnement
Avec un coût plus élevé que chez les concurrents tels Pampers ou Lotus[25], l'image de la marque repose principalement sur la transparence et l'écologie[26]. Elle propose également un modèle d'abonnement sans frais et sans engagement[25].
↑Substances chimiques dans les couches pour bébés : l’enquête de la DGCCRF confirme l’amélioration de la qualité des produits et l’absence de dépassement des seuils sanitaires, 2 juillet 2020 [lire en ligne (page consultée le 2 juillet 2020)]