Il est l'auteur d'une recherche extrêmement documentée sur la notation de la musique ancienne[1],[2]. Vincent Arlettaz note cependant que ses recherches s'appuient essentiellement sur les traités théoriques, excluant les tablatures instrumentales et les sources vocales, sans compter que certaines sources n'ont visiblement pas été connues de Wolf[2].
Bibliographie
Peter Wackernagel(de): Johannes Wolf zum Gedächtnis. Ansprache vor d. Arbeitskollegen d. Öff. Wiss. Bibl. am 3. Juli 1947, in: ZfB 61 (1947), S. 205–207.
Peter Wackernagel: Aus glücklichen Zeiten der Preußischen Staatsbibliothek. Erinnerungen an Kollegen und Freunde von einst, in: Festschrift für Friedrich Smend zum 70. Geburtstag, dargebracht von Freunden und Schülern.- Berlin (1963), S. 61–65
Références
↑Vincent Arlettaz, Musica Ficta : Une histoire des sensibles du XIIIe au XVIe siècle, éditions Mardaga, coll. « Musique-Musicologie », , 526 p. (ISBN2870097271 et 978-2870097274), p. 22
↑ a et bVincent Arlettaz, Musica Ficta : Une histoire des sensibles du XIIIe au XVIe siècle, Liège, Editions Mardaga, coll. « Musique-Musicologie », , 526 p. (ISBN2-87009-727-1 et 978-2870097274, lire en ligne), p. 23