Il a été récipiendaire de la Croix de chevalier de la Croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire accompli avec succès.
Biographie
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Le , sa 221. Infanterie-Division est en poste à Białystok, lorsque le 309e bataillon de police du commandant Weis ratisse le quartier juif, arrête les hommes et se lance dans un pogrom (coups, barbes brûlées, humiliations, et tirs). Lorsque les dirigeants de la communauté viennent voir le général en son quartier-général pour l’implorer, à genoux, un homme du bataillon de police urine sur eux, le général tournant le dos.
Le pogrom continue et les Juifs rassemblés sur la place du marché sont fusillés, tandis que ceux rassemblés dans la synagogue subissent l’incendie (brûlés vifs, ceux qui s’échappent sont exécutés).
Le lendemain, le général Pflugbeil demande par écrit au commandant Weis les causes de l’incendie, mais ce dernier répond par un rapport mensonger
[1].
(de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Friedburg, Allemagne: Podzun-Pallas. (ISBN3-7909-0284-5).
(de) Veit Scherzer, Die Ritterkreuzträger : die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchivs, Ranis/Jena, Scherzers Militaer-Verlag, (réimpr. 2005, 2006), 846 p. (ISBN3-938-84517-1 et 978-3-938-84517-2, OCLC891773959).