Dans le domaine des langues orientales, il a pour disciple le père du philosophe Schelling[1]. Quelques années plus tard, la fille de Michaelis, Caroline, épouse Schelling (après avoir épousé Auguste Schlegel).
Son intelligence le porte en de multiples directions : l'histoire, la littérature ancienne mais aussi moderne, et, principalement, la géographie et les sciences naturelles. Il commence son parcours universitaire comme auditeur de médecine ; dans son autobiographie, il regrette ne pas avoir choisi la profession médicale.
Hans Hecht: T. Percy, R. Wood und J. D. Michaelis. Ein Beitrag zur Literaturgeschichte der Genieperiode (= Göttinger Forschungen. Bd. 3). Kohlhammer, Stuttgart 1933.
Michael C. Legaspi: The Death of Scripture and the Rise of Biblical Studies. Oxford University Press, New York 2011.
Avi Lifschitz: Language and Enlightenment: The Berlin Debates of the Eighteenth Century. Oxford University Press, Oxford 2012, S. 95–142.
Anna-Ruth Löwenbrück: Judenfeindschaft im Zeitalter der Aufklärung: eine Studie zur Vorgeschichte des modernen Antisemitismus am Beispiel des Göttinger Theologen und Orientalisten Johann David Michaelis (1717–1791). Lang, Frankfurt am Main u. a. 1995, (ISBN3-631-48786-X).
Friedrich Schaffstein: Johann David Michaelis als Kriminalpolitiker. Ein Orientalist am Rande der Strafrechtswissenschaft. Vandenhoeck und Ruprecht, Göttingen 1988.