Quittant sa région natale de Nevers, il rejoint les Beaux-Arts de Paris[2]. En , il entre par concours au sein de la troisième promotion de l'Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC) et en sort diplômé après trois ans d'études[3]. Bien qu'il se destine d'abord à la réalisation, il ne parvient pas à devenir assistant-réalisateur et obtient des postes de régisseur adjoint puis de régisseur[2].
L'évolution habituelle du métier est de devenir directeur de production mais il préfère poursuivre son activité de régisseur, à l'exception de quelques films[2]. Il réalise également trois courts métrages dans les années 1960[2]. Il travaille dans le cinéma de la fin des années 1940 au début des années 1980[3]. En 2003, il publie un livre de mémoires, Régisseur de cinéma, préfacé par Gérard Oury[2],[3].
↑ ab et cStéphan Guérard, « Jean Pieuchot », sur lesgensducinema.com, (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
Jean Pieuchot (préf. Gérard Oury), Régisseur de cinéma, Paris, Dualpha editions, coll. « Patrimoine du spectacle », , 438 p. (ISBN2-912476-76-3)
Réédition : Jean Pieuchot (préf. Gérard Oury), Régisseur de cinéma : Tout ça, c'est du cinéma !, Paris, L'Aencre, coll. « Témoignages pour l'Histoire », , 442 p. (ISBN978-2-36876-055-0)