Odilie de Moustier ayant hérité une part significative du patrimoine de la famille Wendel, sa fille Sophie Boegner se fait connaître par sa pugnacité dans la lutte contre les agissements de son cousin Ernest-Antoine Seillière et de Jean-Bernard Lafonta à la tête des sociétés SPLS et Wendel[2].
Carrière
Après des études à la faculté des Lettres de la Sorbonne puis à l'École libre des Sciences politiques, Jean-Marc Boegner devient successivement :
1939 : attaché d'ambassade en Allemagne (à Berlin)
1940 : attaché d'ambassade en Turquie (à Ankara)
1941 : attaché d'ambassade au Liban (à Beyrouth)
1945 : conseiller d'ambassade en Suède
1947 : conseiller d'ambassade aux Pays-Bas
1948 : conseiller d'ambassade à l'administration centrale
1952 : chef de service au Quai d'Orsay (sous-directeur du service des pactes)
↑Pascale Robert-Diard, « Sophie Boegner Maudite cousine », Le Monde, (lire en ligne)
Annexes
Bibliographie
François Boulet, « Jean-Marc Boegner », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 332-333 (ISBN978-2846211901)
Liens externes
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