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Le géographe arabe Al-Bekri mentionne au Xe siècle la présence des Ikebdanen dans l’extrême est du Rif.
Les Ichebdanen sont réputés comme étant de farouches guerriers. Ils sont les premiers rifains à s’être soulevés contre les incursions coloniales des Espagnols lors de la bataille de Lehdara en 1893 bien avant la guerre du Rif.
Tribu zénètes, Kebdana est comprise entièrement dans le désert de Garète, Ce fleuve desséché ne se laisse pas arrêter par le cours d’eau le plus important du rivage africain de la Méditerranée après le Nil , Moulouya ; il l’a franchi sans pouvoir l’endiguer ou la combler, s’arrêtant seulement à l’immensité de la mer, déployant orgueilleusement, en face de la nappe bleue, ses cinquante kilomètres d’estuaires embouchure démesurée qui s’étend depuis le lac de Bou-Erg jusqu’à la frontière oranaise.
Les Kebdana adorent tout ce qui touche de près ou de loin à la religion (l’Islam) font de grands sacrifices pour attirer dans ses zaouiya (séminaires) les professeurs renommés. Tout étudiant est le bienvenu dans ses nombreuses mosquées.
Les Joyeux écoliers, sachant la prédilection dont ils sont l’objet, accourent en foule dans cette tribu qu’ils surnomment Djebel Ed-Degig (la Montagne de la Farine). Ils ont également donné ce nom aux Aït iznassen et Aït Snous
(cercle de Tlemcen), parce qu’ils y reçoivent beaucoup de farine avec laquelle ils font eux-memes leur pain, vendant ensuite celle qu’ils ne peuvent pas consommer.
Ras El Ma (Ixef n Cebdan, Kaboyawa, Cap-de-l'Eau, Cabo de Agua), capitale des Ikebdanen
Ait Mhand
Ihedrawiyen
Notes et références
↑Mena B. Lafkioui, « Le rifain et son orthographe : Entre variation et uniformisation. », dans Codification des langues de France., L'Harmattan, (lire en ligne), p. 355–366
↑Mena Lafkioui, « Méthodologie de recherche en géolinguistique », Corpus, no 14, , p. 139–164 (ISSN1638-9808, lire en ligne, consulté le )
↑Auguste (1855-1931) Auteur du texte Mouliéras, Le Maroc inconnu : étude géographique et sociologique. Exploration du Rif (Maroc septentrional) / par Auguste Mouliéras,..., 1895-1899 (lire en ligne)