Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
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Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
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Parallèlement il commence a créer des œuvres plastiques en images de synthèse. Il développe un méta-discours sur les images virtuelles, "l'outil devient aussi sujet"[2], et travaille aussi sur la thématique de la disparition et du remplacement de la réalité par la simulation[3],[4],[5]. Il traite aussi de sujets d'actualités comme en 2011 avec "Fiction 1" [6] sur le tsunami qui frappe le Japon ou encore sur les actes terroristes armés avec "11 executions"[7],[8],[9] et "FPS"[10],[11].
Son travail est montré dans de nombreuses expositions collectives et des festivals d'art numériques (Biennale Némo, Elektra...) mais sa première exposition monographique "Nostalgie du réel" a lieu au Cube en 2013[12],[13],[14],[15].
Sa seconde exposition monographique "Fantômes numériques" a lieu au Lux en 2016 [16]. Il y montre pour la première fois son installation "Ghost City"[17], qui s'inspire du De Rerum Natura de Lucrèce mais aussi du jeu vidéo GTAV.