Honoré Icard épouse la sculptrice Francine Ducrot en 1892. Signant Ducrot-Icard, ils travailleront en collaboration sur leurs œuvres à partir de la toute fin du XIXe siècle.
Installé depuis de nombreuses années à Saint-Germain-en-Laye, il y meurt dans son château en 1917.
Icard ayant légué sa production à l'État, la plupart de ses œuvres sont (ou ont été) conservées dans les réserves de musées. Certaines de ses sculptures ont été détruites ou perdues.
Chantilly, musée Condé : Le Duc de Luynes, marbre, commande de l'État pour l'Institut.
Évreux, musée d'Évreux : David devant Saül, ou David jouant de la Harpe, marbre. Le modèle en plâtre de 1877 (détruit) a été présenté à l'Exposition universelle de 1878 à Paris sous le titre David devant Saül.
↑Etat civil, ville de Tourtouse, pages 146 et 147 : mdr-archives.ariege.fr/mdr/index.php/docnumViewer/calculHierarchieDocNum/275951/261748:272110:274653:275951/768/1366
Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'école française au XIXe siècle, t. III, Paris, pp.175-177.
Guy Meyra, « Honoré Icard : sculpteur ariégeois », Bulletin annuel de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, Saint-Girons, 1991, pp.61-81.