Henry Tattegrain est l'élève de Gaston Jobbé-Duval, d'Henry Tattegrain et de Henri Lefort. Il est membre la société des aquafortistes français et de plusieurs sociétés artistiques. Il est secrétaire général de la Compagnie des peintres restaurateurs de tableaux et de la Fédération des artistes graveurs et lithographes[2].
Initié en franc-maçonnerie le et pratiquant le Rite écossais ancien et accepté, Henry Tattegrain réalise des lettrines au trait de police maçonnique qui inspireront d'autres artistes. Il entre dans la loge maçonnique parisienne « L'Action » qui reprend ses travaux clandestinement en 1942 et accède au 33e degré[3]. Il illustre de nombreux articles de revues maçonniques notamment dans la revue La Chaîne d'union[2] et dessine les blasons des hauts grades du Grand Collège.
Pascal Bajou, « Henry Tattegrain », dans La voix de l'écossisme, 3e partie de la philosophie écossaise ou tradition et modernité du RÉAA, dans Le Bicentenaire du Rite Écossais Ancien Accepté en France , éditions Dervy, 320.p.