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Adolescente, elle découvre l'alpinisme avec son père et devient plus tard une passionnée d'escalade qu'elle pratique tout au long de sa vie[4]. Son père, violoniste[2] devenu impresario sur la Côte d'Azur, se suicide en 1934[5].
En 1936, elle remporte à Valberg la coupe Fémina qui récompense la meilleure skieuse de descente française[6]. La même année, elle apparaît, sous le nom d'Hélène Ricardou, dans Poursuites blanches de Marcel Ichac[7], aux côtés de l'équipe de France de descente. Après son mariage, elle adopte le nom de son mari, Dassonville. En 1939, on peut la voir dans Jeunes Filles de France de Marc Allégret et Yves Allégret, un court métrage documentaire réalisé à l'occasion de l'exposition internationale de New York de 1939[8].
Sa carrière d’actrice se poursuit jusqu'en 1950, après quoi elle se consacre à la réalisation et à la production. Elle réalise plusieurs documentaires sur la montagne, dont Le Pilier de la solitude qui lui vaut la Gentiane d'or au Festival international du film de montagne de Trente[9].
En 1991, elle apparaît dans Le Crépuscule des montagnards, un documentaire diffusé l'année suivante dans l'émission Montagne, sur FR3[4] : alors âgée de 78 ans, elle témoigne de sa passion de l'escalade qu’elle pratique toujours, avec son petit-fils.
↑ a et bBernard Choquet, « Dossier : Le crépuscule des montagnards », N° de notice : CAC92018343 (reportage), Montagne, sur Ina MEDIAPRO, France 3 Grenoble, (consulté le )
1939 : Jeunes Filles de France de Marc Allégret et Yves Allégret (court métrage documentaire) : Hélène Dassonville est l'une des jeunes Françaises dont le portrait est fait à l'occasion de l'exposition internationale de New York de 1939.
1991 : Le Crépuscule des montagnards de Bernard Choquet (reportage diffusé dans l'émission Montagne, le sur FR3) : interview d'Hélène Dassonville, âgée de 78 ans, sur sa passion de l'escalade qu’elle pratique avec son petit-fils.