Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Gustave (Gustavo) Carulli ( – )[1], est un compositeur, musicien (pianiste, chanteur, guitariste) et professeur de musique français.
Biographie
Né à Livourne, il est le fils du guitariste, chanteur[2] et compositeur Ferdinando Carulli et de Marie-Joséphine Boyer. Gustave apprend la guitare et le chant auprès de son père. En plus de ses œuvres pour guitare bien connues (telles que sa Méthode complète pour guitarre ou lyre composée expressément pour l'enseignement de son fils Gustave, op. 27[3]), il arrange et publie également des œuvres pour voix [4],[5],[6] et même une méthode de chant [7] et d'accompagnement[8],[9]
Le jeune Gustavo suit son père à Paris, où il étudie le piano avec le polonais Mirecki, l'harmonie avec Nicolo Isouard et la composition avec Ferdinando Paer[10].
En 1838, Gustave Carulli publie une Méthode de chant dédiée à Gilbert Duprez[14],[15],[16],[17]. Plusieurs de ses méthodes d'enseignement sont intégrées au Solfège des solfèges, lors de sa collaboration avec Henri Lemoine. Plus tard, Adolphe-Léopold Danhauser compléta le Solfège des solfèges par des leçons supplémentaires[18],[19].
On dit de Carulli qu'il maîtrisait également un style antérieur, « la phraséologie galante des années 1780[20]. »
Il donne des cours de chant chez lui, au 63 bis rue de Provence[21],[22], deux numéros plus loin que chez Franz Liszt[23].
En 1847, deux chansons de Gustavo Carulli sont récompensées au Concours des chants populaires[24],[25].
Plus tard, il s'installe à Boulogne-sur-Mer, où il finit sa vie.
Un de ses étudiants était Alexandre Guilmant à qui il enseigna l'harmonie, le contrepoint et la fugue.
Répertoire pour tous les alliés, les ossia rassemblés pour divers motifs de la célèbre M Mayer [29]
Pot-pourri pour piano-forte et violon estratt della Semiramide [30]
"Paganini" Trois airs variés pour le Violon, pour être exécuté sur la quatrième corde seulement, avec accompagnement de Piano, par Gustave Carulli [31]
Rondo brillant, précédé d'un andante pour le piano [32]
Méthode du Chant, dédiée à Duprez par G. Carulli, professeur du Chant [14],[15],[16],[17]
Quinze vocalises à deux voix, faisant suite à la Méthode [33]
Les Feux Follets, Album de Chant avec accompagnement de Piano, pour 1842, Paroles de MM. Ancouet et E. Barateau, Musique de Gustave Carulli, contenant cinq Romances et cinq nocturnes [34],[35]
Album de 1839 ; Paroles de Mme Tastu, MM. Aucoult et Barateau, Musique de Gustave Carulli [36]
↑Cambiasi, P., Rappresentazioni date nei reali teatri di Milano 1778-1872 compilazione di Pompeo Cambiasi, R. Stabilimento musicale Ricordi, (lire en ligne), p. 32
↑ a et bGlissons n'appuyons pas. Giornale critico-letterario, d'Arti, Teatri e Varieta, Pirotta (no Bd. 5), (lire en ligne), p. 208
↑ a et bRobert-Schumann-Gesellschaft (Frankfurt, Main), Verband Gemischter Chöre Deutschlands et Verband Deutsche Oratorien- und Kammerchöre, Neue Zeitschrift für Musik: das Magazin für neue Töne : gegr. 1834 von Robert Schumann, Schott (no Bd. 8), (lire en ligne), p. 180
↑ a et bInternational Musicological Society. Congress et Pompilio, A., Atti del XIV congresso della Società internazionale di musicologia: Study sessions, EDT, (ISBN9788870630756, lire en ligne), p. 201
↑ a et bMusikalischer Monatsanzeiger aller im Jahre ... neu erschienenen Musikalien, Schriften über Musik, Portraits von Componisten etc, Whistling, (lire en ligne), p. 52
↑ a et bBibliothèque municipale, Catalogue des livres composant la Bibliothèque de la ville de Bordeaux, Imprimerie royale, , 2–44 p. (lire en ligne)
↑Journal général d'annonces des œuvres de musique, gravures, lithographies, Minkoff Reprint (no Bd. 1), (lire en ligne), p. 112
↑Bibliographie von Deutschland, oder wöchentliches vollständiges Verzeichniß aller in Deutschland herauskommenden neuen Bücher, Musikalien und Kunstsachen (etc.), Industrie-Comptoir, (lire en ligne), p. 279
↑Gazzetta di Milano, Dalla C.R., Stamperia di governo, , 1–169 p. (lire en ligne)
↑Gazzetta di Milano, Dalla C.R., Stamperia di governo, (lire en ligne), p. 979
↑Fétis, F.J. et Pougin, A., Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, Firmin Didot Frères. (no Bd. 6), (lire en ligne), p. 417
↑Journal général d'annonces des œuvres de musique, gravures, lithographies, Minkoff Reprint (no Bd. 3), (lire en ligne), p. 1609
↑Bibliothèque municipale, Catalogue des livres composant la Bibliothèque de la ville de Bordeaux, Imprimerie royale, , 2–14 p. (lire en ligne)
↑La France musicale. Red.: Jules Maurel, Marie et Leon Escudier, Cesar Bajat (no Bd. 4), (lire en ligne), p. 400
↑La France musicale. Red.: Jules Maurel, Marie et Leon Escudier, Cesar Bajat (no Bd. 5), (lire en ligne), p. 71
↑Revue et gazette musicale de Paris, Revue (no Bd. 5), (lire en ligne)
↑Choron, A.E., Manuel complet de musique vocale et instrumentale ou encyclopédie musicale (no Bd. 3), (lire en ligne), p. 302
↑ a et bBibliographie de la France ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie et des cartes géographiques, gravures, lithographies et oeuvres de musique, Pilet, (lire en ligne), p. 611
↑Bibliothèque nationale de France, Bibliographie de la France, Cercle de la librairie, (lire en ligne), p. 463
↑Morgenblatt für gebildete Leser, Cotta (no Bd. 31;Bd. 34), (lire en ligne), p. 28
↑Gazette musicale de Paris, Gazette musicale de Paris (no Bd. 3), (lire en ligne), p. 440
↑Gazette musicale de Paris, Gazette musicale de Paris (no Bd. 2), (lire en ligne), p. 412
↑Bibliothèque municipale, Catalogue des livres composant la Bibliothèque de la ville de Bordeaux, Imprimerie royale, , 2–40 p. (lire en ligne)
↑Allgemeine musikalische Zeitung, Breitkopf und Härtel (no Bd. 41), (lire en ligne), p. 84