La promulgation en d'une nouvelle constitution permet à Denis Sassou-Nguesso, président sortant, de se représenter lors des élections présidentielles de mars 2016 pour un troisième mandat consécutif. Il gagne alors l'élection et est réélu Président de la République le .
Par le décret no 2016-117, il réinstaure le la fonction de Premier ministre, et nomme Clément Mouamba à ce poste[1]. Le gouvernement est nommé le [2].
Qualifié de « gouvernement de rupture », il comprend 16 nouvelles personnalités, ainsi que 8 femmes, ce qui est alors un record[3]. Sans compter les femmes conseillères du gouvernement comme Antoinette Kébi-Mounkala au développement du ministère du Plan, de la statistique et de l'intégration régionale, ainsi qu'à la promotion des femmes[4].
Démission
Le , moins de quinze jours après les élections législatives où le parti présidentiel (PCT) arrive largement en tête, Clément Mouamba présente la démission de son gouvernement, comme le veut l'usage à l'occasion d'une nouvelle législature[5]. Le , il est reconduit au poste de Premier ministre[6], et nomme le un nouveau gouvernement, le gouvernement Mouamba II[7].
Ministre délégué auprès du Ministre de l'Intérieur, de la Décentralisation et du Développement local, chargé de la Décentralisation et du Développement local
↑Andy Pike, « SYNDICATS, DÉVELOPPEMENT ET GOUVERNANCE LOCALE ET RÉGIONALE », dans Reconversion économique et développement territorial, Presses de l'Université du Québec, (lire en ligne), p. 277–296