À la Sorbonne, il suit un cursus classique que ponctuent une brillante réussite à l'agrégation d'histoire (1968) et une place d'assistant à l'université Paris-Nanterre[5].
Le monde byzantin I : L'Empire romain d'Orient (330-641) [ouvrage collectif], Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Nouvelle Clio », 2012.
Sergilla, village d'Apamène. Tome I : Une architecture de pierre (avec Maamoun Abdulkarim, Gérard Charpentier, Catherine Duvette et Claudine Piaton), Paris, Institut français du Proche-Orient, 2014.
↑Son père y est professeur de musique de 1950 à 1970. Maurice Malleret, Encyclopédie des auteurs du pays montluçonnais et de leurs œuvres (de 1440 à 1994), Charroux, Éditions des Cahiers bourbonnais, 1994, p. 375-376, notice no 302.
↑Philippe-Jean Catinchi, « Georges Tate », sur lemonde.fr,
↑Marc Griesheimer, « Georges Tate (1943-2009) », Syria. Archéologie, art et histoire, vol. 86, , p. 341-342 (lire en ligne)
↑Vincent Puech, « Les travaux de Georges Tate sur la Syrie du Nord et les études sur la Macédoine à la fin du Moyen Âge : un apport commun à la connaissance des campagnes byzantines », Topoi. Orient-Occident, vol. 12, , p. 459-470 (lire en ligne)