Franck Mwe di Malila
Franck Mwe di Malila Apenela, né le à Kinshasa en république démocratique du Congo, est un homme politique congolais et un conseiller du président du Sénat de la république démocratique du Congo, Léon Kengo Wa Dondo[1],[2]. Il a été vice-ministre à la Coopération internationale et à l'Intégration régionale de 2014 à 2016[3], vice-ministre du Plan de 2016 à 2017, puis ministre du Tourisme du au [4]. BiographieJeunesseFranck Mwe di Malila grandit à Kinshasa, la capitale de la république démocratique du Congo et à Soignies (Belgique)[1]. Il est élevé par son beau-père Michel Demoustier. Son père biologique est Édouard Mwe di Malila[5]. ScolaritéIl avait fait ses études primaires au lycée français de Kinshasa et à l’école des Carrières à Soignies en Belgique. Il a été élève au Collège Saint-Vincent de Soignies avant de poursuivre des études à l'école Hôtelière du CERIA à Bruxelles et de gestion d'entreprise. Hommes d'affairesDe 1992 à 1994, Franck Mwe di Malila fut administrateur associé d’Exxon Kinshasa. Ensuite, de 1994 à 1997, il était l'administrateur gérant de Zaïre Technical Service[1]. Carrière politiqueConseillerParallèlement à ses activités de manager d’entreprise, il restait comme conseiller privé du Directeur de cabinet du président de la République, de 1993 à 1997. À partir de 2007, il se retrouve dans le sillage du président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo. Il est aussi marié à Marie-Claire Kengo, la fille de Léon Kengo. Ils ont une fille, qui a grandi au Congo et en Belgique. Par son mariage avec la fille de Kengo, il a développé une relation politique avec son beau-père, conduisant à devenir son conseiller politique, une fonction qu’il va exercer jusqu’à son entrée au gouvernement[1]. Secrétariat technique de Concertations nationalesLe 8 août 2013, il a été nommé membre du secrétariat technique par le présidium des concertations nationales composé du président du Sénat Léon Kengo wa Dondo et de celui de l’Assemblée nationale Aubin Minaku. Le secrétariat technique est un organe, dans le Concertations nationales, composé d'un coordonnateur et de son adjoint, accompagnés d’un collège de 14 conseillers thématiques et deux conseillers financiers. Annoncées par le président Joseph Kabila en décembre 2012, les concertations nationales visent à "créer la cohésion nationale" face à la guerre dans le Nord-Kivu. En juin dernier, il a signé une ordonnance créant ces concertations dont la direction a été confiée aux présidents de deux chambres du Parlement[6]. Vice-ministre coopération internationale et intégration régionaleLe 7 décembre, il a été nommé vice-ministre de coopération internationale et intégration régionale par le président de la république Joseph Kabila[7]. Notes et références
Références externes
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