L'histoire de Fly540 débute en 2006 avec un capital initial de 3 millions d'USD détenu pour 49 % par le conglomérat britannique Lonrho.
C'est le 24 novembre que la compagnie commence ses opérations. Il s'agit d'une liaison bi-journalière entre Nairobi et Mombasa avec un ATR 42-320 de 48 places. Le prix du billet adulte pour un vol aller-retour est de 5 540 KES et c'est à ce prix que la compagnie fait allusion dans son nom.
En 2007, l'arrivée de deux ATR 42-320 supplémentaires ouvre, dès janvier, une liaison bi-journalière avec Kisumu et, en février, un vol journalier vers Lamu via Mombasa et Malindi.
En mai, la flotte s'agrandit de deux Bombardier Dash 8-102 ce qui permet d'ouvrir de nouvelles lignes nationales.
En octobre, débutent les premières liaisons internationales avec le Soudan et le Burundi.
En janvier 2008, la compagnie signe un contrat de 150 millions d'USD pour l'acquisition de huit ATR 72-500s qui auraient dû être livrés en 2008 et 2009[1]. Au , aucun appareil n'a encore été délivré.
En février, l'Ouganda s'ajoute aux destinations.
Le , Fly540 reçoit l'autorisation des autorités angolaises d'ouvrir une nouvelle plate-forme de correspondance pour, dans un premier temps, des liaisons intra-angolaises au moyen de deux nouveaux ATR 72[2],[3] avec la vision d'ouvrir des lignes internationales. L'obtention du certificat de transporteur aérien est obtenu après 1 an 1⁄2 de négociations.
En décembre 2010, la première liaison bi-journalière de Fly540 Angola entre Luanda et Cabinda (via Soyo) débute avec un seul appareil[4].
Dans le même temps, Fly540 et la compagnie kényane East African Safari Air Express (EASAX) signent un accord de partenariat.
Flotte
Au , la flotte de Fly540 comportait les appareils suivants :
Le , un Fokker F27-500 rate son atterrissage à l'aéroport Wilson et termine sa course dans un champ de maïs sans faire de victime parmi les quatre occupants[8].
Notes et références
↑EADS, 11 janvier 2008, Lonrho commande 8 ATR 72-500 pour la compagnie Fly540 [(fr) lire en ligne]