L'essai se compose de correspondances artistiques liées aux photographies précédées par des chapitres introductifs[2].
« Vertiges » est un chapitre introductif où est évoqué le rapport de la photographie au temps
« Musées » est un chapitre analytique et biographique sur Willy Ronis
« Formes »
« Intuitions » fait référence à la photographie La Fête de l'Humanité (1934, no 1) avec pour correspondance le travail de Boudin, La Grande Jatte de Georges Seurat (1XXX) et Le Repos du dimanche (1947, no 2 à Champigny)
« Emblématique » fait référence à la photographie Dimanche au Louvre (1968, no 3) et André Lhote (1947, no 4) avec pour correspondance X de X (1XXX)
« Abymes » fait référence à la photographie X (19XX, no X) avec pour correspondance X de X (1XXX)
« Travail » fait référence à la photographie X (19XX, no X) avec pour correspondance X de X (1XXX)
« Structures » fait référence à la photographie X (19XX, no X) avec pour correspondance X de X (1XXX)
« Poutrelles » fait référence à la photographie X (19XX, no X) avec pour correspondance X de X (1XXX)
« Visage » fait référence à la photographie Mineur silicosé (1951, no 6) avec pour correspondance Les Mangeurs de pommes de terre de van Gogh (1885) et Patience escalier (1888) du même artiste
« Politique » ne fait pas de référence directe à une photographie exposée dans le livre mais les œuvres suivantes sont citées :
« Loisirs » fait référence à la photographie Fête à Murs (1959, no 9) avec pour correspondance Les Loisirs : Hommage à Louis David de Fernand Léger (1948-1949)
« Jeux » fait référence à la photographie Aubagne (1947, no 11) avec pour correspondance Au temps d'Harmonie de Paul Signac (1893-1895)
« Rues » fait référence à la photographie Spakenburg (1954, no 12) avec pour correspondance Cour intérieure d'une maison à Delft de Pieter de Hooch (1658) et aussi Boulevard Richard-Lenoir (1946, no 13) avec pour correspondance Le Boulevard vu d'en haut et Vue prise à travers un balcon de Gustave Caillebotte (les deux 1880)
« Corps » fait référence à la photographie Piscine de l'Isle-Adam (1950, no 14) avec pour correspondance Jugement de Pâques de Renoir (1XXX)
« Elle » fait référence à la photographie Le Nu provençal (1949, no 15) avec pour correspondance d'autres photos de la femme de Willy Ronis qui est le modèle de ce nu[4].
« Mort » fait référence à la photographie La Vieille Dame dans un parc (1998, no 16) avec pour correspondance Paysage à Beaulieu de Renoir (1899)