Pour AllMusic, Feed Me Weird Things propose un son « assez jazzy, surtout pour un album sorti sur le label Rephlex d'Aphex Twin » et « qui repose sur l'expérience de Jenkinson en tant que bassiste »[1]. John Bush cite pour exemple Windscale 2, « qui débute et se termine par une ligne de basse et une percussion qui plongent leurs racines dans le funk ». Olivier Lamm de Libération écrit en 2019 que l'album est « à mi-chemin de la jungle destructurée au micron près d'Aphex Twin et de la fusion jazz rock trépidante des seventies »[5].