Tom Jenkinson raconte qu'il a composé cet album « en n’ayant que le live à l’esprit ». Il s'aide pour cela d'un logiciel qu'il a lui-même mis au point, afin « d'être en mesure de garder un arrangement musical identique du studio à la scène »[10].
Pour Pitchfork, « des morceaux comme "Stor Eiglass" et "Exjag Nives", avec leurs mélodies de synthé espacées de breakbeats, n'ont jamais autant rapproché Squarepusher de l'EDM pour festivals »[4].