Il est remarqué par Théophile Gauthier lors du salon de 1846 pour son Portrait de l'artiste et de sa mère (ill. ci-contre). Son œuvre reçoit les éloges d'autres critiques d'art.
Il laisse principalement des portraits et des nus, par lesquels il se rapproche de Gustave Courbet dans une veine réaliste.
Peintre prometteur doté d'une maturité précoce tout autant que d'une santé très fragile, il meurt à 24 ans, le , d'une tuberculose pulmonaire (phtisie)[1] sans laisser de descendants.
Martyre de saint Pierre de Vérone (copie du tableau de Jean-Claude Naigeon lui-même copié d'après celui du Titien), v. 1839, huile sut toile, 100 x 81 cm[2];
Etude de torse, v. 1840, huile sur toile, 100 x 80 cm[3] ;
Portrait de Madame Hamon, 1845, huile sur toile, 65 x 44 cm (en dépôt au musée du Louvre)[4]
Portrait de l'artiste et de sa mère, 1846, huile sur toile ;
Tête de lancier, av. 1848, huile sur toile ;
Tête de Christ mort, av. 1848, huile sur toile, 38 x 32 cm[5] ;
Portrait de Madame Sophie Carré, av. 1848, huile sur toile, 92 x 73 cm[6];
Portrait de Jean Baptiste Carré, av. 1848, huile sur toile, 92 x 73 cm[7]
Portrait de Joseph Carré, av. 1848, huile sur toile, 46 x 35 cm[8];
Portrait de Madame Benigne Carré, av. 1848, huile sur toile, 41 x 33 cm[9];
Portrait de Madame François Laguesse, av. 1848, huile sur toile, 41 x 33 cm[10] ;