Il a fait partie, selon les historiens, des libéraux du Maroc, critiquant les inégalités du système colonial dans les colonnes du quotidien Maroc-Presse, malgré les intimidations et attentats de La Main rouge, émanation et paravent du SDECE.
P. Geuthner, Le Crédit et la Banque au Maroc, Paris, 1929. Thèse pour le doctorat en droit (sciences économiques), Université de Paris, Faculté de droit.
L'indépendance du Maroc: témoignage d'action 1950-1956, Paris, Plon, 1975.
Juif maghrébin: Une vie au Maghreb racontée à ma fille, Fayolle, Paris, 1978. (ISBN2-86221-026-9)
Félix Nataf, Je dis enfin ce que je pense, Paris, 1980.
Jean Épinat, Un homme, une aventure au Maroc, Paris, Souffles, 1987. (ISBN2-87658-009-8)
↑Félix Nataf ainsi que son épouse Séthé Nataf se sont convertis à la religion catholique, faisant ainsi la synthèse vivante de presque toutes les communautés
↑« Le gouvernement de Rabat a rendu hommage aux Français libéraux du mouvement des Amitiés marocaines », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )