Elle revient à Dresre en 1928 pour créer Hélène d'Égypte de Richard Strauss. Elle chante sur les plus grandes scènes comme l'Opéra de Paris en 1930 (Walkyrie et Aïda) et le Festival de Salzbourg en 1932.
Son timbre lumineux, sa technique transcendante et son legato impeccable en font une figure majeure du chant durant l'entre-deux-guerres. Elle avait une musicalité qui lui permettait également de briller en concert comme interprète de lieder, notamment de Hugo Wolf.
Elle fait ses adieux au Metropolitan Opera en 1942 et épouse en 1957 George Cehanovsky, un baryton qui fit également carrière au "Met".