Entré dans la Compagnie de Jésus en 1958, il soutient en 1979 une thèse d'histoire à l'université de Paris-Sorbonne, sous la direction de Roland Mousnier[1]. Il devient ensuite maître de conférences à l'EPHE[2].
Un corps pour l'Esprit. Essai sur l’expérience communautaire selon les Constitutions de la Compagnie de Jésus, Paris, Desclée de Brouwer, coll. « Christus », , chap. 38[6],[7].
La Politique de saint Ignace de Loyola, l’analyse sociale (préf. Pierre Chaunu), Paris, Éditions du Cerf, [8],[9],[10],[11].
L'intelligence du corps : un commentaire des Constitutions de la Compagnie de Jésus, Bruxelles, Lessius, coll. « Christus », , 240 p. (ISBN978-2-87299-347-5).
↑« Liste des auteurs », dans Les écoles de pensée religieuse à l’époque moderne, LARHRA, coll. « Chrétiens et Sociétés. Documents et Mémoires », (ISBN979-10-365-4334-0, lire en ligne), p. 203
↑Jean Séguy, « Bertrand (Dominique) Un corps pour Esprit; Essai sur l'expérience communautaire selon les Constitutions de la Compagnie de Jésus », Archives de sciences sociales des religions, vol. 39, no 1, , p. 202–203 (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) Antonio Queralt, « Un corps pour l'Esprit. Essai sur l'expérience communautaire selon les Constitutions de la Compagnie de Jésus (Collection Christus, 38, Études) », Gregorianum, vol. 60, no 4, , p. 758–760 (ISSN0017-4114, lire en ligne, consulté le ).
↑Jean-François Gilmont, « Dominique Bertrand, La politique de saint Ignace de Loyola. L'analyse sociale. Préface de Pierre Chaunu, 1985 », Revue théologique de Louvain, vol. 20, no 1, , p. 82–86 (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) M. Ruiz Jurado, « La politique de Saint Ignace de Loyola. L'analyse sociale », Gregorianum, vol. 67, no 1, , p. 193–195 (ISSN0017-4114, lire en ligne, consulté le ).