Ben (Benjamin) Carson, un Afro-Américain issu d'un milieu modeste, est élevé par une mère célibataire qui cache son ignorance devant ses enfants.
Ben, qui néglige ses études et passe le plus clair de son temps avec son frère à regarder la télévision, va être confronté à la ténacité de sa mère et sa persévérance, bien décidée à le remettre sur les rails de la réussite. Des efforts qui vont finir par payer faisant de lui l'un des neurochirurgiens les plus brillants au monde, et de son frère, un grand ingénieur…
Fiche technique
Titre français : Des mains en or
Titre original : Gifted Hands: The Ben Carson Story
Le vrai Ben Carson peut être vu brièvement portant les mêmes gants bleus que Cuba Gooding Jr et marchant au bas du couloir devant un tableau.
Lorsque le Dr Carson va annoncer les résultats de la chirurgie de séparation des jumeaux aux parents, il n'a pas de sueur sur son uniforme, mais dans la scène suivante, quand il escorte les parents pour voir leurs jumeaux, il est trempé de sueur.
Le plan du paysage urbain apparaissant au début, après que Ben Carson accepte d'effectuer la chirurgie pour les jumeaux, est présenté comme Ulm la ville du Bade-Wurtemberg, dans le Sud de l'Allemagne, mais en réalité il s'agit de Hambourg.
Dans la scène de la salle d'opération pendant la chirurgie pour les jumeaux siamois, une vue en gros plan des mains de certains membres du personnel qui manipulent des solutions IV, révèle qu'ils ne portent pas de gants chirurgicaux pour la stérilité.
Une scène dans la maison du Dr Carson à Baltimore montre des bouteilles d'alcool, mais il est un adventiste du septième jour et ils ne boivent pas d'alcool.
Dans la scène où Ben est stagiaire à l'hôpital Johns-Hopkins en 1976, on peut voir un patient relié à un moniteur patient, qui n'a été disponible qu'en 1989.
Accueil critique
Le film a reçu des critiques généralement positives sur le site Metacritic, et détient une note de 63/100 basé sur neuf avis.
Le Hollywood Reporter a écrit : « Le film est si bon que un peu d'impudeur est non seulement acceptable, mais compréhensible ». Le quotidien américain Orlando Sentinel a écrit quant à lui « C'est un film parfait mais on peut faire mieux surtout lorsqu'on est un pays contesté par son nouveau président ».