Les Hommes Forts (2003), son premier roman, est consacré aux Poilus ; il se caractérise par la « rugosité du style », « la rudesse de l'histoire » et « la rébellion des protagonistes »[1]. Philippe-Jean Catinchi note quant à lui sa « sobriété » et sa « pudeur »[2].
En 2005, il thématise dans Tous soleils bus le sujet de la résistance[3].
Gorges chaudes (2010), un récit à la 1re personne d'une enfance cévenole, lui vaut de la part d'Homéric le surnom de « Rodin des Cévennes »[4].
Du feu de Dieu (2018) lui est l'occasion d'exprimer son « esprit d'insubordination », à travers le nouvel itinéraire d'un enfant des Cévennes qui combat l'injustice sociale[5],[6].