Coutot-Roehrig est une entreprise de recherches d'héritiers et de vérifications de dévolutions successorales créée en 1894 par Amédée Coutot, fondateur du fonds Coutot. Au 31 décembre 2023, Coutot-Roehrig affiche un chiffre d'affaires de 74 millions d'euros et emploie 360 salariés[1],[2].
Sauf indication contraire, les informations ci-dessous proviennent de la rubrique histoire du site internet de l'entreprise[5]
1894 : Création du cabinet Coutot à Paris par Amédée Coutot
1924 : Maurice Coutot succède à son père à la tête du cabinet
1966 : Entrée de Jean-Claude Roehrig aux côtés de Maurice Coutot
1974 : Parution du livre de Maurice Coutot, Ces héritiers que je cherche
1979 : Jean-Claude Roehrig prend la direction du cabinet
1994 : Le cabinet Coutot-Roehrig prend le statut de Société anonyme
1998 : Parution du livre de Jean-Claude Roehrig, En quête d'héritiers
2002 : Première implantation européenne du cabinet en Italie
2006 : Création de la succursale de Bruxelles et partenariat avec un correspondant en Pologne
2010 : La société dépasse les 30 succursales avec l'ouverture d'une succursale en Suisse[6]
2011 : Guillaume Roehrig est nommé Président Directeur Général
2012 : Création de Coutot-Roehrig International, la société compte 37 succursales[7]
2014 : Ouverture d'une 40e succursale à San Francisco
2018 : Coutot-Roehrig participe au documentaire Chasseurs d'héritiers - Grands Reportages diffusé par TF1 [8]
2019 : Ouverture du capital à Capza et BPI France [9]
2020 : Diffusion de la série Recherche Héritiers[10] sur France 3 - 6 épisodes
2023 : Luxempart prend le relais de Capza au capital de Coutot-Roehrig [11]
2024 : Diffusion de la web-série Histoires en Héritage[12]
2025 : Création d'une succursale en Allemagne
Métier
Le principal métier d’entreprises comme Coutot-Roehrig est la généalogie successorale. Le généalogiste successoral a pour mission, lors d’un décès où il existe un doute sur le nombre ou la qualité des personnes pouvant prétendre à une part du patrimoine, de retrouver les héritiers vivants et de répartir les parts dudit patrimoine. Cette répartition se fait selon les degrés de parenté des héritiers avec le défunt et selon les articles 731 et suivants du Code civil[13].
L'honoraire du généalogiste successoral est à payer par l'héritier retrouvé. S'il signe un contrat avec l'entreprise, l'honoraire est un pourcentage (parfois 35%) de la part de l'héritier; sinon ce sont uniquement les dépenses « utiles et nécessaire » de l'entreprise[14],[15].