On peut considérer que cette constante a été obtenue par sérendipité. En effet, l'étude de cette question vient d'une coquille dans un énoncé plus simple[1] : une suite telle que
peut-elle tendre vers l'infini ?
La réponse est « non », car[4] toutes les suites de cette forme convergent vers la racine
(qui vaut approximativement[5]) de l'équation . Un autre argument consiste à remarquer que .
↑ ab et c(en) J. Ewing et C. Foias, « An Interesting Serendipitous Real Number », dans C. Caluse et G. Păun, Finite versus Infinite: Contributions to an Eternal Dilemma, Londres, Springer-Verlag, (DOI10.1007/978-1-4471-0751-4_8, lire en ligne), p. 119-126.
(ro) Andrei Vernescu, « Constante de tip Euler generalizate », Gazeta Matematică, a : Revistă de cultură Matematica, Anul XXV(CIV) no 1, , p. 11-16 (lire en ligne), p. 15