Le conseil communautaire de la communauté d'agglomération se compose de 61 conseillers[5], représentant chacune des communes membres et élus pour une durée de six ans.
Au terme des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, le nouveau conseil communautaire a réélu le , son président, Pascal Gouhoury, maire (LR) de Samoreau, ainsi que 15 vice-présidents et 12 autres membres[6],[5], pour constituer le bureau de l'intercommunalité durant la mandature 2020-2026, de manière à assurer la représentation de chacune des communes associées et d'attribuer deux sièges à chacune des deux communes les plus importantes.
La liste des vice-présidents a été modifiée par le conseil communautaire du à la suite de la démission de M. Valletoux, devenu député de Seine-et-Marne, et est désormais la suivante :
Laurent Roussel, maire-adjoint de Fontainebleau chargé de l'attractivité, de l'aménagement et du développement du territoire, du tourisme et de l'enseignement supérieur[7] ;
Marie-Charlotte Nouhaud, maire d'Avon, chargée de l'environnement et du contrat de ville[8] ;
Véronique Féménia, maire de Saint-Martin-en-Bière, chargée des finances et des ressources humaines ;
David Dintilhac, maire de Bois-le-Roi, chargé de la santé et de la solidarité ;
Christophe Baguet, maire de Saint-Sauveur-sur École, chargé du développement économique, de l'emploi, de l'insertion et de l'économie sociale et solidaire ;
Fabrice Larché, maire de Perthes, chargé de l'habitat, du logement et du patrimoine ;
Jean-Philippe Pommeret, maire d'Ury, chargé de la mutualisation ;
Michael Goué, maire de Tousson, chargé de l'urbanisme ;
Victor Valente, maire de Bourron-Marlotte, chargé du sport ;
Sonia Risco, maire de Recloses, chargée des mobilités ;
Pascal Gros, marie de Chartrettes , chargé de l'enfance, de la petite-enfance et de la jeunesse et du PCAET ;
Yannick Torres, maire de Héricy, chargé de la sécurité et de la prévention de la délinquance, ainsi que de la vie associative et la culture ;
Patrick Pochon, maire de Boissy-aux-Cailles, chargé du développement rural ;
Françoise Bourdreux-Tomaschke, maire-adjointe d'Avon, chargée de l'accessibilité, du handicap, de la voirie et des espaces publics[9] ;
Hélène Maggiori, conseillère municipale de Fontainebleau, chargé des Sites Patrimoniaux Remarquables.
L'intercommunalité exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Il s'agit[11] :
Les compétences obligatoires • Développement économique (zones d’activités, développement du tourisme…) • Aménagement de l’espace communautaire (plan local d’urbanisme, organisation de la mobilité…) • Équilibre social de l’habitat (programme local de l’habitat, politique du logement…) • Politique de la ville (élaboration du diagnostic du territoire…) • Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations • Accueil des gens du voyage • Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés • Assainissement • Eau • Gestion des eaux pluviales urbaines
Les compétences optionnelles • Protection et mise en valeur de l'environnement et du cadre de vie (lutte contre la pollution de l’air…) • Construction, aménagement, entretien et gestion d'équipements culturels et sportifs d'intérêt communautaire • Action sociale d'intérêt communautaire
Les compétences facultatives
• Défense contre l'incendie
• Aménagement numérique
• Berges de rivière
• Soutien aux activités artistiques, culturelles ou sportives
• Petite enfance, enfance, jeunesse
• Infrastructures et équipements accessoires au transport routier
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[3] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Projets et réalisations
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Notes et références
↑« Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant adoption du schéma départemental de coopération intercommunale », Recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, no 166, , p. 5-8 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Arrêté préfectoral du 19 décembre 2016 portant création d’une communauté d’agglomération issue de la fusion des communautés de communes du « Pays de Fontainebleau » et « Entre Seine et Forêt » et extension du périmètre du nouveau groupement aux communes d’Achères-la-Forêt, Arbonne-la-Forêt, Barbizon, Bois-le-Roi, Boissy-aux-Cailles, Cély, Chailly-en-Bière, La Chapelle-la-Reine, Chartrettes, Fleury-en-Bière, Noisy-sur-Ecole, Perthes, Saint-Germain-sur-École, Saint-Martin-en-Bière, Saint-Sauveur-sur-Ecole, Tousson, Ury et Le Vaudoué », Recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, no 263, , p. 14-22 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑ a et bYoann Vallier, « Pays de Fontainebleau. Pascal Gouhoury réélu président : « Notre agglo a un potentiel exceptionnel » : Finalement seul candidat, le maire de Samoreau a été réélu président de l’agglo. Il a 6 ans devant lui pour affronter la crise à venir et réussir le virage écologique », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Plus tôt dans la semaine, les 26 maires s’étaient réunis, et Frédéric Valletoux avait fait connaître son intention de ne pas être candidat. « J’ai décidé de soutenir la solution la plus unie possible, déclarait M.Valletoux ».
↑Sylvain Deleuze, « Pascal Gouhoury élu président... à une voix près », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Frédéric Valletoux, le maire (LR) de Fontainebleau et conseiller régional, arrivé en tête au premier tour, a échoué à une voix près (29 contre 30). Il y a eu deux bulletins blancs ».
↑« Présentation », Votre agglo, sur pays-fontainebleau.fr (consulté le ).