Son travail poétique, selon Claude Ber, interroge le passage entre la chair et le mot, l'inquiétude et le questionnement. Elle figure notamment dans les anthologies L'érotisme dans la poésie féminine, de Pierre Béarn (Pauvert, 1993) et L'anthologie de la poésie érotique, de Pierre Perret (Nil, 1995), ainsi que dans plusieurs autres.
Claudine Bohi a reçu le prix Paul-Verlaine en 1998 pour le recueil Atalante, ta course (Éditions La Bartavelle) [1], ainsi que le prix Mallarmé 2019 pour Naître, c'est longtemps (Éditions La Tête à l'envers, 2018).
Œuvres
Car la vie est cerise téléphone à ton arbre, Dijon Paris, France, Éditions Le Pont de l'Épée / Guy Chambelland, 1983, 55 p. (BNF34749586)
Le Nom de la mer, Dijon Paris, France, Éditions Le Pont de L’Épée / Guy Chambelland, 1987, 62 p. (BNF34969544)
Divan, Cerisiers, Éditions Le Pont sous l’eau / Guy Chambelland, 1990, 50 p.