1 x radar tridimensionnel de veille air et surface Ericsson/Saab Microwave Systems Sea Giraffe 1 x radar de navigation Terma A/S bande I Scanter 2001 1 x conduite de tir optronique SELEX Sistemi Integrati Orion RTN-25 1 x conduite de tir optronique Sagem Vigy (prévue) 1 x système d'alerte laser Saab Avitronics NLWS310 1 x système d'écoute de communications Thales Altesse 1 x système d'interception radar Elettronica SLR-736E 1 x système de leurres Rheinmetall MASS (Multi Ammunition Softkill System) 1 x sonar d'évitement d'obstacles Elac Nautik NDS 3070 Vanguard (prévu) Liaison 11
Équipage
44 officiers, officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots
Le ministère de la Défense des Émirats arabes unis commande le auprès de Abu Dhabi Ship Building quatre bâtiments de classe Baynunah puis, le , un nouveau lot de 2 bâtiments[2]. Le premier bâtiment, Baynunah, est construit à Cherbourg par l'entreprise française Constructions mécaniques de Normandie, également chargée de l'intégration du système d'armes, de la logistique et de la formation du personnel pour les cinq autres bâtiments, qui sont construits par Abu Dhabi Ship Building via un transfert de technologie[3],[4].
Le coût du programme est estimé en 2009 à 3 milliards de Dirham des Émirats arabes unis (591 millions d'euros en octobre 2010) pour les six navires soit un coût unitaire estimé de l’ordre de 136 millions de dollars[5].
Pendant la guerre du Yémen, au moins[7] une corvette de la classe Baynunah participe au blocus naval opéré par la coalition menée par l'Arabie saoudite au Yémen[8]. Ce blocus, qui limite les livraisons de nourriture, est accusé de participer à une « stratégie de la famine », écrit la cellule d'investigation de Radio France[9],[10].