Il est également président de l'association Le Puy, cité de passé et d'avenir[6] dont il est à l'origine en 1970[7] et qui a pour but de défendre et réhabiliter le patrimoine du Puy-en-Velay[8]. Sous son impulsion[9], le premier chantier de cette association fut, sous la direction de l'architecte Claude Perron[10], la participation à la restauration d'un quartier ancien du Puy-en-Velay : le Pouzarot[11].
Il s'intéresse également à la Haute-Garonne, département où il possède des attaches[12],[3] : en 1998, il publie l'ouvrage Caraman, 1581-1858[3], qui s'intéresse à l'histoire de cette commune[13].
2005 : À Chanteuges au XVIIIe siècle des enfants dont personne ne veut
Dans Horizons d’Argonne, publication du Centre d’études argonnais
2006 (no 83) : Les Perrin-Brassac, pérégrination de Languedociens au septentrion, 1784-1824[42]
Dans Les Maçons de la Creuse
juin 2010 (no 14) : Un sujet d’étude vierge, les maçons de La Marche de Louis XIV à la Révolution française. Un exemple : Champagnac-le-Vieux au temps des chaumières[38]
Notice
Notice biographique dans Ces toulousains qui font Toulouse, Éditions Michel Ittah, (ISBN2-9510754-7-2) pour l'édition 2011.
↑J'ai gardé des liens étroits avec tous mes copains lycéen. Christian de Seauve - Chahuter ou avoir son bac in Le Progrès, le 28 janvier 2008 (...) Pourtant Christian de Seauve n'a jamais eu son baccalauréat. (...) Son meilleur souvenir de lycée ? « D'avoir beaucoup chahuté ! » (...) L'homme forme aussi son goût pour l'histoire. Ainsi en 1964 il fonde les Cahiers de la Haute-Loire dont il devient le président en 1980.
↑« Après 40 ans de présidence, Christian de Seauve passe le relai, Didier Perre prend la tête de l'association qui prépare son édition 2021 », L'Éveil de la Haute-Loire,
↑Un nouveau village dans la ville, par Michèle Champenois in Le Monde, 12 août 1971
↑Le Progrès Le sauvetage in extremis de la Commanderie Saint-Jean in Le Progrès le 7 avril 2016 : Printemps 2016 : la rénovation du Faubourg Saint Jean bat son plein. Dans ce vaste chantier, il aura fallu toute la ténacité et la conviction de Le Puy, cité de passé et d'avenir, présidée par Christian de Seauve ainsi que l'adhésion du Foyer Vellave aux arguments présentés pour que l'ancienne Commanderie Saint-Jean-de-Jérusalem échappe à la démolition. (...)
↑Le Puy-ville. Réhabilitation et vie de la Cité in Le Progrès, le 7 octobre 2012 (... Depuis le plan de sauvegarde, en 1972, l'association « Le Puy cité de passé et d'avenir », monté par Christian de Seauve, incite Claude Perron à poursuivre son travail. Le quartier du Pouzarot, qui surplombe le Faubourg-Saint-Jean en bénéficiera. Aujourd'hui on peut voir les résultats. ...)
↑Le Puy ville d'art : « Le Pouzarot est un chantier exemplaire » par E.P. in Le Progrès, le 5 novembre 2005 (... vers 1970, l'Association Le Puy cité de passé et d'avenir, sous l'égide de son président Christian de Seauve, fait des pieds et des mains pour redonner vie à l'ensemble semi ruiné du Planet de la Rabe.)
↑comme le précise sa notice biographique dans Ces toulousains qui font Toulouse, (Éditions Michel Ittah, (ISBN2-9510754-7-2) pour l'édition 2011)
↑participation à un colloque « Pierre-Paul Riquet, habitant de Bézier et de Mirepoix » (le concepteur et réalisateur du Canal du Midi) en janvier 2007 au titre d'historien de Caraman, colloque organisé par Salon du Livre d'Histoire Locale de Mirepoix
↑intervention au colloque « Ce que nous disent les forêts du Livradois, et comment relever le défi du renouvellement de la forêt française » organisé par le Groupe d'histoire des forêts françaises, intervention de Christian de Seauve annoncé dans Le Progrès du 17 septembre 2015 : La Chaise-Dieu, pérenniser et développer les ressources forestières locales
↑compte-rendu de conférence : L'art des maçons de la Marche, in La Montagne (journal) le 3 avril 2010: C'est à la salle polyvalente d'Aubusson (Creuse) que s'est tenue samedi dernier une conférence de l'association des Maçons de la Creuse qui avait invité Christian de Seauve. Il a traité du thème « Quand de 1670 à 1791, les maçons de la Marche construisaient des chaumières à Champagnac-le-Vieux ». Une conférence originale sur un aspect inconnu et inexploité de la migration des bâtisseurs limousins
↑remerciements de Véronique Garrigues pour sa contribution dans le cadre des recherches pour la rédaction de l'ouvrage Adrien de Monluc (1571-1646) : d'encre et de sang, publiées aux Presses Universitaires de Limoges, 2006 (ISBN2-84287-376-9)
↑remerciements de Gilles Grandjean, Conservateur en chef du patrimoine et Directeur du Musée Crozatier pour sa contribution dans le cadre des recherches pour la rédaction de l'ouvrage Histoire du Musée Crozatier: le carrosse et la momie mais encore, Impr. Jeanne-d'Arc, Le Puy-en-Velay, 2002
↑remerciements de Gilles Grandjean, Conservateur en chef du patrimoine et Directeur du Musée Crozatier pour sa contribution dans le cadre des recherches pour la rédaction de l'ouvrage Regard du XIXe siècle sur les fresques de la Cathédrale du Puy, Impr. Jeanne-d'Arc, Le Puy-en-Velay, 2005 (ISBN2911794400)
↑remerciements de Gilles Charreyron pour sa contribution dans le cadre de la rédaction de sa thèse Politique et religion: protestants et catholiques de la Haute-Loire, publiée par les Presses universitaires Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand en 1990 (ISBN2-87741-048-X)
↑Un nouveau village dans la ville, par Michèle Champenois in Le Monde, 12 août 1971 où est exposé en détail le contenu de ces cent pages de croquis qui détaillent portes et volets à planche doublées, fenêtres, peintures, crochets, marteaux et poignes, toitures et cheminées... (...) « Quand je montre le guide à un profane, il le feuillette et le repose au bout de quelques pages ; quand c'est un artisan, il l'ouvre et l'examine attentivement » raconte Christian de Seauve
↑Critique de l'article de Christian de Seauve par la revue ENGREF, publication de l'École nationale du génie rural, des eaux et des forêts, Nancy, en 2003 : L’auteur, Christian de Seauve, s’intéresse de longue date au patrimoine et au passé du Velay. L’Abbaye de la Chaise-Dieu est située au nord de ce pays du Massif central au particularisme marqué. Durant des siècles, l’Abbaye eut une puissance et une influence considérables et, à la fin de l’Ancien Régime, elle “possédait” un patrimoine forestier de près de 1 000 ha, divisé en une quinzaine de massifs. (...) revue ENGREF, Nancy, 2003.
↑Michel Pomarat, une vie, une œuvre, in Le Progrès, 23 décembre 2003 : (...) Bernard Sanial et Christian de Seauve ont réuni dix-neuf études parues, pour la plupart, dans les bulletins de la Société Académique. (...)
↑Parution - Une nouvelle livraison des « Cahiers de la Haute-Loire », in Le Progrès, 25 février 2005 : (...) Puis c'est Christian de Seauve qui remémore « les années Soulingeas », un personnage trop tôt disparu, et qui fut très apprécié quand il était directeur des Archives départementales de la Haute-Loire.
↑ a et bL'art des maçons de la Marche, in La Montagne (journal) le 3 avril 2010: C'est à la salle polyvalente d'Aubusson que s'est tenue samedi dernier une conférence de l'association des Maçons de la Creuse qui avait invité Christian de Seauve. Il a traité du thème « Quand de 1670 à 1791, les maçons de la Marche construisaient des chaumières à Champagnac-le-Vieux ». Une conférence originale sur un aspect inconnu et inexploité de la migration des bâtisseurs limousins
↑Histoire locale ; les Cahiers de la Haute-Loire sont parus », par Gérard Adier in Le Progrès, 10 juin 2009 : On y retrouve une palette d'auteurs de renom, des études riches et bien illustrées, agréables à lire et bien documentées (...) Christian de Seauve présente des notes sur les châteaux disparus du Villard et de l'Air, à Laval sur Doulon.
↑publication présentée dans La Montagne du 10 septembre 2014 : Depuis 40 ans, les Cahiers de la Haute-Loire font connaître l'histoire du département : (...) Par Christian de Seauve, l'église romane et le bourg fortifié de Champagnac-le-Vieux. Dans son terroir granitique, l'église cédée par Saint Julien de Brioude à La Chaise-Dieu devient un prieuré, noyau d'un bourg fortifié. L'église romane est également fortifiée au XIVe siècle. L'historique des réparations s'établit à partir des constats conservés pour la fin de l'Ancien Régime, jusqu'en 1910.