Pierre Rézeau dit, dans le Dictionnaire des régionalismes du français en Alsace[4], que la recette de 1895 contenait des chinois (ou bigarade), petite orange amère et confite issue du bigaradier de Chine.
Une histoire humoristique raconte que l'origine de ce nom serait associée à un des premiers importateurs français de ce gâteau, qui ne parlait pas allemand. Lorsqu'il se faisait livrer ses Schneckenkuchen, devant la difficulté à prononcer ce mot, il répondait : « De toute façon, pour moi, c’est du chinois. » Ce terme « gâteau chinois » serait alors resté pour le désigner en français[réf. nécessaire].
↑Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Metz - Moselle - Pays thionvillois : Mon city guide, Nouvelles Éditions de l'Université, coll. « Petit Futé », , 336 p. (ISBN979-10-331-5485-3) :
« On aime les spécialités locales, comme le Chinois (gâteau lorrain brioché en forme d'escargot, fourré à la crème pâtissière et aux pépites de chocolat) […]. »
↑(en) Marguerite Doerflinger, Gastronomy of Alsace, SAEP, 1982.
↑Le Platt lorrain pour les Nuls, Éditions First, 2012 (ISBN9782754042611).
↑Pierre Rézeau, Dictionnaire des régionalismes du français en Alsace, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, , 655 p. (ISBN978-2-86820-354-0).
↑ a et bAndré Garnier, Pains et viennoiseries. Recettes et techniques, Lucerne, Dormonval, coll. « Les arts de la table », , 171 p. (ISBN978-2-7372-2272-6), p. 150.