Le marquis de Juigné soutenait son cousin, Charles Étienne Gustave Leclerc, comte de Juigné, dans son intention d'assécher de lac de Grand-Lieu, aussi, ils cosignèrent Desséchement du lac de Grand-Lieu : 2e note en réponse au syndicat de Buzay (Signé : Mis de Juigné, Cte de Juigné, Mis de La Roche-Fontenilles), impr. de Merson, , 8 p. (lire en ligne).
Ascendance et postérité
Ernest Le Clerc était né du second mariage (1824) de Jacques-Marie-Anatole Leclerc (° 1788 † 1845), marquis de Juigné, officier de cavalerie, et d'Armande Pauline Marie (Paris, - château de Juigné, Juigné-sur-Sarthe, ), fille d'André Joseph Marie Gaspard de Castellane (né en 1758), marquis de Majastres.
Il avait frère, né du premier mariage (1813) de son père avec Marie Anne Jeanne († ), fille de Charles-Henri de Feydeau (né en 1754), marquis de Brou : Charles Marie Chrétien Leclerc (né le ).
Ascendants de Charles Léon Ernest Le Clerc de Juigné
16. Samuel-Jacques Le Clerc, baron de Juigné († 1734)
Charles Léon Ernest Le Clerc de Juigné épousa, le en l'église Saint-Thomas-d'Aquin (Paris), Charlotte de Percin de Montgaillard de La Valette[3] (Toulouse, 1825 - Juigné-sur-Sarthe, 9 juin 1897), fille unique de Jean-Baptiste de Percin de Montgaillard, marquis de La Valette (1767-1846) et d'Anna de Juigné. Ensemble, ils eurent :
Anne Léonnie (Le Lude, 16 novembre 1868 - Juigné-sur-Sarthe, 12 février 1947), le 18 mars 1890 à Paris VIIe, avec Odon, marquis de Saint-Chamant (1863-1901), dont postérité ;
Marie Madeleine (Le Lude (Sarthe), 21 mai 1871 - Villers-Bocage (Calvados), 5 avril 1969), mariée, le 25 juin 1895 à Paris VIIIe, avec Fernand (1865-1930), marquis de Clermont-Tonnerre, dont postérité ;
↑Par 48 990 voix sur 84 400 votants et 135 095 inscrits
↑Avec 8 460 voix, contre 13 121 à l'élu républicain.
↑Charlotte de Percin de Montgaillard de La Valette vend les terres de Saint-Laurent et Ganges après son mariage avec son cousin Charles-Ernest, marquis de Juigné. Elle est la dernière représentante des Percin de Montgaillard.