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Charles Courtin a appartenu au courant littéraire appelé algérianiste : ses poèmes ont été publiés dans le premier manifeste de ce courant en 1920, l'anthologie De treize poètes algériens[3].
Œuvres
La Brousse qui mangea l'homme. Images de la vie algérienne, roman, Éditions de France, 1929, Grand prix littéraire de l’Algérie[4]; Friedberg : EditionAtlantiS, 2020, (ISBN978-3-932711-69-5)
Au pays de la paresse, roman, Alphonse Lemerre, 1933; Friedberg : Edition AtlantiS, 2020, (ISBN978-3-932711-74-9)
Café maure, Les Éditions de France, 1939; Friedberg : Edition AtlantiS, 2020, (ISBN978-3-932711-64-0)
Du sang sur la dune, Alger, Baconnier frères, 1943; Friedberg : Edition AtlantiS, 2020, (ISBN978-3-932711-73-2)
Sept nuits sur un cadavre, Alger, Agence française de librairie, 1945; Friedberg, Edition Atlantis, 2020, (ISBN978-3-932711-75-6)
Le Maléfice de la chair, Alger, Agence française de librairie, 1946
Bibliographie
Jean-Louis Planche, « Charles Courtin, romancier de l'affrontement colonial », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, 1984, vol. 37, no 1, p. 37-46