En Ligue Magnus, les Dragons de Rouen terminent premiers de la saison régulière et remportent ainsi le trophée Jacques-Lacarrière[1]. Lors des quarts de finale des séries éliminatoires, les Rouennais et les Grenoblois qui ont largement dominé la saison régulière blanchissent respectivement Chamonix et Nice. Seuls les Rapaces de Gap (5e en saison régulière) renversent la hiérarchie en s'imposant en 5 matchs contre Angers. Entre Amiens et Bordeaux, il aura fallu attendre le match décisif pour voir la série basculer en faveur des Picards. En demi-finale, les Brûleurs de loups de Grenoble continuent leur sans-faute tandis que Rouen concède un match aux Gapençais. En finale, c'est un remake de la finale de la saison précédente, mais cette fois-ci il aura fallu attendre le match décisif pour voir Grenoble succéder à Rouen. Sur les 7 matchs, 6 se sont finis avec un seul but d'écart.
L'Étoile noire de Strasbourg, dernière de la saison régulière, attaque la poule de maintien avec un retard non négligeable de 14 points sur Anglet 11e. Autant dire que les Alsaciens sont condamnés au sans-faute pour se maintenir. Pourtant c'est l'inverse qui se produit, et dès la deuxième journée les Strasbourgeois sont mathématiquement relégués. Ils ne remporteront finalement aucun match, arrachant juste un point à Lyon. Après 13 saisons dans l'élite, l'Étoile noire de Strasbourg retrouvera la Division 1.
En Division 1, les Albatros de Brest terminent premiers de la saison régulière. Les quarts de finale eux se montrent très disputés puisque 3 des 4 séries iront jusqu'au match 5. Si les Bisons de Neuilly-sur-Marne disposent facilement de Caen, pour Brest et Cergy-Pontoise, les deux premiers de la saison régulière, c'est plus compliqué. Dans la série en Marseille et Briançon ce sont les Haut-Alpins qui sortent vainqueurs après trois séries de tirs au but en cinq matchs.
Les demi-finales offrent aussi du spectacle avec l'élimination des deux premiers de la saison régulière respectivement en quatre matchs face à Briançon, et en cinq matchs contre Neuilly. Lors de la finale, Briançon, sans l'avantage de la glace, va s'imposer par deux fois en terre francilienne avant de conclure lors du match 3 à domicile. Après 3 ans d'absence, les Diables rouges de Briançon retrouvent la Ligue Magnus. En play-down, les Éléphants de Chambéry perdent toutes leurs rencontres après une saison régulière difficile. Ils sont accompagnés dans la relégation par les Aigles de La Roche-sur-Yon, qui sont de surcroit en proie à des difficultés financières.
Ces deux dernières équipes joueront donc en Division 2.
En Division 2, les Jets d'Évry Viry et les Sangliers Arvernes de Clermont terminent premiers de leur groupe en saison régulière. Les Jets sont éliminés dès les huitièmes de finale à la surprise générale par les Renards de Roanne, qui s'inclineront eux en demi-finale. Comme lors des deux saisons précédentes, on assiste à une domination de la poule Sud avec 6 équipes sur 8 en quart de finale. C'est finalement les deux premiers de la poule Sud qui s'affronteront en finale. Les Clermontois font respecter la hiérarchie et sont sacrés champions de Division 2 face aux Bouquetins du HCMP, qui les accompagnent pour la montée en Division 1.
En poule de maintien, les Grizzlys de Vaujany prennent vite les devant pour se maintenir dès la deuxième journée. Derrière, la bataille est rude jusqu'à la fin et ce sont finalement la réserve strasbourgeoise et les Taureaux de feu de Limoges qui finissent aux deux dernières places synonymes de relégation en Division 3.
En Division 3, le carré final est composé de trois équipes ayant fini à la première place de leur poule lors de la saison régulière (les Coqs de Courbevoie, le Épinal Hockey Club et les Boucaniers de Toulon), ainsi que des Chevaliers du lac d'Annecy II qui ont éliminé en play-offs les Castors d'Asnières, la dernière tête de série.
Le Épinal Hockey Club, qui se restructure après la liquidation judiciaire de sa partie professionnelle, est choisi pour accueillir le carré final. Après avoir survolé la saison régulière avec 14 victoires en autant de rencontres, ils connaissent un accroc avec un match nul à Reims en 1/8e de finale avant de balayer Poitiers 28-4 et de dominer le carré final avec 24 buts marqués pour 9 encaissés. La surprise vient de la part des Annéciens qui finissent deuxièmes après des victoires dans la douleur contre Courbevoie et Toulon (but vainqueur dans les deux dernières minutes à chaque fois). Les Chevaliers du lac ne sont cependant pas admissibles à la montée, l'équipe première évoluant déjà en Division 2. La Fédération sollicite alors différents clubs pour la montée, notamment Limoges, Courbevoie et Toulon (Strasbourg II ne pouvant se maintenir en Division 2 en raison de la relégation de l'équipe première en Division 1, et puisqu'il est nécessaire d'avoir deux divisions d'écart entre les deux équipes d'un même club). Par ailleurs, Angers et Amiens se positionnent pour inscrire une équipe en Division 2.
L'intersaison est mouvementée et les promotions-relégations sont chamboulées.
En Division 1, les Bouquetins du HCMP sont interdits de montée par le gendarme financier de la FFHG, et à peine promus, ils sont rétrogradés en Division 2. Les Éléphants de Chambéry sont maintenus en Division 1 à leur place. Les Aigles de La Roche-sur-Yon, relégués et au bord du dépôt de bilan, refusent de jouer en Division 2 et s'engagent alors en Division 3. Sa réserve qui était dans cette division est donc dissoute.
En Division 2, les Coqs de Courbevoie sont promus à la place des Chevaliers du lac d'Annecy II. La place de La Roche-sur-Yon est quant à elle réattribuée à la réserve strasbourgeoise qui est donc maintenue.
En Division 3, Amiens II, les Élans de Champigny et les Pumas de Fontenay cessent leurs activités à la fin de la saison.
Règlement
Il s'applique pour toutes les divisions.
Points
Les points sont attribués de la façon suivante :
victoire dans le temps règlementaire : 3 points ;
victoire en prolongation ou aux tirs au but : 2 points ;
défaite en prolongation ou aux tirs au but : 1 point ;
défaite dans le temps règlementaire : 0 point.
Classement
Les équipes sont classées en fonction du nombre de points qu'elles ont enregistré. En cas d'égalité, les critères suivants sont appliqués :
Points dans les rencontres directes ;
Nombre de matchs perdus par forfait ;
Nombre de buts marqués dans le temps réglementaire entre les équipes concernées ;
Différence de buts générale ;
Quotient buts marqués / buts encaissés lors de tous les matchs de la poule ;
Nombre de buts marqués lors de tous les matchs de la poule.
Si après avoir épuisé tous ces critères, deux équipes sont toujours à égalité, un match de barrage est alors organisé sur terrain neutre.
La saison régulière se joue du au . Réunies au sein d'une poule unique, les 12 équipes se rencontrent en double matchs aller-retour. À l'issue de cette première phase, les 8 premiers se qualifient pour les séries éliminatoires, du au , jouées au meilleur des 7 matches. Les 4 derniers jouent une phase de relégation, entre le et le . Cette phase est un mini-championnat en matchs aller-retour à l'issue duquel le dernier est relégué en Division 1.
Résultats
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier[5].
Le format des séries éliminatoires est le suivant[10] :
Toutes les séries se jouent au meilleur des 7 matches (quarts de finale, demi-finales, finale).
Chaque match doit déterminer un vainqueur. Lors des matches 1 à 6, en cas de match nul à l'issue du temps réglementaire, une prolongation de 10 minutes à 3 contre 3 est disputée. L'équipe qui marque gagne la partie. Si aucun but n'est inscrit au cours de la prolongation, une séance de tirs au but détermine le vainqueur. Lors des matches 7, la prolongation à 3 contre 3 en mort subite est jouée jusqu'à ce qu'un but soit inscrit. Toutes les 20 minutes, il y a un repos de 15 minutes avec un surfaçage et un changement de côté. L'équipe qui marque remporte la rencontre.
En quart de finale, les équipes se rencontrent dans un ordre prédéfini : le 1er de la saison régulière rencontre le 8e de la saison régulière ; le 2e rencontre le 7e ; le 3e rencontre le 6e ; le 4e rencontre le 5e.
Les vainqueurs se retrouvent en demi-finales où l'organisation est similaire à celle des quarts de finale : le mieux classé contre le moins bien classé, etc.
En finale c'est également le cas, le mieux classé ayant l'avantage de la glace.
Aleardi (Caron, Brodeur) — 3 min 28 s Aleardi (Deschamps, Mäkinen) — 13 min 34 s Dusseau (Thinel, Langlais) — 14 min 44 s Koivisto (Chakiachvili, Roy) — 15 min Langlais (Ritz, Brodeur) — 22 min Roy (Miklík, Guttig) — 27 min 11 s Dusseau (Ritz, Mäkinen) — 31 min 34 s Deschamps (Thinel, Langlais) — 34 min 57 s Aleardi (Caron, Dusseau) — 35 min 46 s Ritz (Thinel, Roy) — 42 min 44 s - - Langlais (Miklík, Guttig) — 52 min 9 s Dusseau (Langlais, Ritz) — 57 min 1 s
Koivisto (Ritz) — 8 min 20 s (SN) Koivisto (Bedin, Nesa) — 13 min 27 s Caron (Aleardi, Deschamps) — 25 min 49 s (SN) Koivisto (Nesa, Dusseau) — 32 min 46 s Caron (Mäkinen, Brodeur) — 33 min 47 s Brodeur (Aleardi, Mäkinen) — 34 min 5 s Aleardi (Deschamps, Caron) — 39 min 6 s Langlais (Thinel, Lampérier) — 48 min 10 s Chakiachvili (Roy, Guttig) — 58 min 43 s
1-0 2-0 3-0 4-0 5-0 6-0 7-0 8-0 9-0
- - - - - - - - -
Arbitrage : Pierre Dehaen et Julien Peyre Juges de lignes : David Courgeon et Charles-Edouard Salmon
Thinel (Lampérier) — 5 min 12 s Caron (Aleardi, Deschamps) — 14 min 52 s Caron (Deschamps, Chakiachvili) — 20 min 27 s Bedin (Koivisto, Nesa) — 24 min 9 s
Arbitrage : Julien Peyre et Laurent Garbay Juges de lignes : Vincent Zede et Anne-Sophie Boniface
Rohat (Baylacq, Arnaud) — 2 min 7 s Fleury (Da Costa, Treille) — 10 min 1 s (SN) Champagne (Leclerc, Manavian) — 13 min 32 s Da Costa (McEachen, Fleury) — 27 min 57 s (SN) - Leclerc (Horák) — 45 min 8 s Treille (McEachen, Da Costa) — 54 min 13 s
- Rajamäki (Thomas, Perttilä) — 14 min 24 s (SN) - - Sabatier (Drtina, Carpentier) — 54 min 13 s Perttilä (Tarkkanen, Paločko) — 55 min 17 s -
0-1 1-1 1-2 1-3 2-3 3-3 3-4
Manavian (Da Costa, McEachen) — 13 min 43 s (SN) - Kara (Da Costa, Manavian) — 38 min 5 s Legault (Latendresse, Magovac) — 46 min 25 s - - Leclerc (Champagne, Kearney) — 58 min 41 s
Arbitrage : Laurent Garbay et Benjamin Scolari Juges de lignes : Nicolas Constantineau et Guillaume Barthe
Treille (Da Costa, Fleury) — 2 min 56 s Manavian (Da Costa, Fleury) — 12 min 46 s (SN) Fleury (Treille, McEachen) — 17 min 32 s Treille (Fleury, Manavian) — 20 min 42 s Hardy (Kearney, Leclerc) — 23 min 53 s Hardy (Rohat, Leclerc) — 55 min 55 s Kramár (Da Costa, Fleury) — 59 min 20 s
Arbitrage : Jimmy Bergamelli et Alexandre Hauchart Juges de lignes : Guillaume Barthe et Gwilherm Margry
Trabucco (Matima, Poudrier) — 23 min 28 s Plouffe (Suire, Prissaint) — 31 min 6 s Bault (Trabucco, Matima) — 41 min 35 s Poudrier (Maia, Edwards) — 50 min 12 s (SN)
Arbitrage : Joris Barcelo et Jimmy Bergamelli Juges de lignes : Thomas Caillot et Clément Goncalves
Matima (Poudrier, Buysse) — 2 min 13 s Halley (Belisle) — 11 min 11 s (SN) Trabucco (Maïa, Edwards) — 12 min 16 s (SN) - Suire (Plouffe, Narbonne) — 30 min 55 s Maïa ( Šmach, Edwards) — 37 min 12 s Belisle (Maïa, Edwards) — 44 min 3 s Matima (Belisle, Halley) — 46 min 33 s (SN) -
1-0 2-0 3-0 3-1 4-1 5-1 6-1 7-1 7-2
- - - Baazzi (Valier, Johnston) — 26 min 5 s (SN) - - - - Paquin (Mulle, Valier) — 56 min 56 s
Arbitrage : Joris Barcelo et Pierre Dehaen Juges de lignes : Gwilherm Margry et Thomas Caillot
- - Abramov (Thillet, Crinon) — 21 min 35 s Biezais (Jekimovs, Crinon) — 21 min 58 s (SN) Jekimovs (Brown, Biezais) — 24 min 37 s (SN) Bouvet (Abramov, Reno) — 39 min 31 s (SN) - Bouvet (Kambeitz) — 59 min 42 s (CV)
- Jekimovs (Kontos, Brown) — 13 min 57 s (2 SN) Biezais (Bouvet) — 20 min 34 s Brown (Biezais) — 29 min 11 s Brown — 51 min 18 s Schmitt (Joubert) — 59 min 46 s (CV)
0-1 1-1 2-1 3-1 4-1 5-1
Farnier (Bouchard, Campbell) — 9 min 42 s - - - - -
Arbitrage : Alexandre Bourreau et Geoffrey Barcelo Juges de lignes : Nicolas Constantineau et Frédéric Peuriere
Brown (Biezais) — 2 min 47 s Brown (Bouvet, Biezais) — 12 min 7 s (2 SN) - - - - Schmitt (Vondráček, Joubert) — 32 min 24 s Jekimovs (Kontos, Biezais) — 34 min 59 s (2 SN) -
1-0 2-0 2-1 2-2 2-3 2-4 3-4 4-4 4-5
- - Brodeur (Aleardi, Caron) — 17 min 6 s Aleardi (Lampérier, Langlais) — 19 min 46 s Caron (Aleardi, Langlais) — 25 min 20 s Aleardi (Roy, Chakiachvili) — 31 min 51 s - - Chakiachvili (Ritz, Guttig) — 69 min 28 s
Arbitrage : Alexandre Hauchart et Laurent Garbay Juges de lignes : Gwilherm Margry et Frédéric Peuriere
- Abramov (Thillet, Gutierrez) — 51 s - - Thillet (Abramov) — 26 min 17 s (SN) Thillet (Gutierrez, Abramov) — 41 min 7 s Melin (Jekimovs, Kontos) — 42 min 48 s
0-1 1-1 1-2 1-3 2-3 3-3 4-3
Chakiachvili (Ritz, Lampérier) — 25 s - Deschamps (Langlais, Thinel) — 10 min 25 s (SN) Ritz (Lampérier, Guttig) — 21 min 51 s - - -
Arbitrage : Pierre Dehaen et Adrien Ernecq Juges de lignes : Nicolas Constantineau et Guillaume Gielly
Caron (Colotti, Langlais) — 19 min 18 s Nesa (Koivisto, Brodeur) — 33 min 57 s Aleardi (Deschamps, Langlais) — 34 min 52 s - - Lampérier (Thinel, Ritz) — 48 min 8 s - Lampérier (Guttig, Aleardi) — 59 min 13 s (SN)
1-0 2-0 3-0 3-1 3-2 4-2 4-3 5-3
- - - Biezais (Bouvet, Faure) — 35 min 47 s Kambeitz (Kontos, Jekimovs) — 42 min 13 s - Bouvet (Thillet, Gutierrez) — 55 min 20 s (SN) -
Arbitrage : Jimmy Bergamelli et Geoffrey Barcelo Juges de lignes : Thomas Caillot et Clément Goncalves
Leclerc (Bisaillon, Hardy) — 4 min 40 s Treille (McEachen, Fleury) — 16 min 36 s Hardowa (Tartari, Latendresse) — 20 min 48 s - Bisaillon (Leclerc, Hardy) — 39 min 3 s (SN) Legault (Tartari, Latendresse) — 49 min 1 s Hardy (Champagne, Leclerc) — 51 min 51 s (SN) Champagne (Bisaillon, Hardy) (SN)
1-0 2-0 3-0 3-1 4-1 5-1 6-1 7-1
- - - Trabucco (Da Costa, Poudrier) — 14 min 42 s - - - -
Arbitrage : Alexandre Hauchart et Laurent Garbay Juges de lignes : Nicolas Constantineau et Gwilherm Margry
- Suire (Belisle, K. Da Costa) — 8 min 14 s - - - Maïa (Savoye) — 28 min 56 s (SN) - - Bault (Maïa, Coulaud) — 54 min 50 s -
0-1 1-1 1-2 1-3 1-4 2-4 2-5 2-6 3-6 3-7
Rohat (Manavian, Treille) — 6 min 29 s - Kearney (Champagne, Leclerc) — 14 min 8 s Legault — 16 min 47 s Legault (Tartari) — 26 min 32 s - Leclerc (Hardy) — 38 min Latendresse (Kramár, Arnaud) — 38 min 43 s - Leclerc (Hardy, Bisaillon) — 56 min 4 s (SN)
Arbitrage : Pierre Dehaen et Jimmy Bergamelli Juges de lignes : Clément Goncalves et Nicolas Constantineau
- - - - West (Trabucco) — 27 min 21 s (SN) Narbonne (West, Šmach) — 37 min 51 s
0-1 0-2 0-3 0-4 1-4 2-4
Baylacq (T. Da Costa, Arnaud) — 12 min 18 s Champagne (Kearney, Hardy) — 16 min 47 s (SN) McEachen (Fleury) — 17 min 44 s (SN) Kearney (Bisaillon, Hardy) — 18 min 27 s (SN) - -
Arbitrage : Geoffrey Barcelo et Adrien Ernecq Juges de lignes : Joris Barcelo et Jérémie Douchy
Kearney (Leclerc, Mceachen) — 18 min 23 s - Mceachen (Leclerc, Kramar) — 27 min 27 s Legault (Kara, Mceachen) — 38 min 35 s Rohat (Fleury, Tartari) — 39 min 51 s
1-0 1-1 2-1 3-1 4-1
- Ritz — 23 min 19 s (SN) - - -
Arbitrage : Pierre Dehaen et Jimmy Bergamelli Juges de lignes : Guillaume Gielly et Nicolas Constantineau
- Tartari (Bisaillon, Treille) — 42 min 2 s (SN) Fleury (Rohat, Treille) — 53 min 50 s
Arbitrage : Geoffrey Barcelo et Pierre Dehaen Juges de lignes : Thomas Caillot et Clément Goncalves
Pintarič
Gardiens
Horák
23 min
Pénalités
28 min
12
Tirs
16
Poule de maintien
Les quatre derniers de la saison régulière s'affrontent dans une poule de relégation sous le format d'un mini-championnat en matches aller-retour à l'issue duquel le dernier est relégué en Division 1. Ces quatre équipes conservent l'ensemble de leurs points gagnés au cours de la saison régulière.
Résultats
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier.
Nota concernant les points : Le nombre de points indiqué correspond au cumul de points entre la saison régulière et la phase de relégation. Le nombre de points acquis en poule de maintien figure entre parenthèses.
La saison régulière se joue du au . Les quatorze équipes sont réunies au sein d'une poule unique qui se joue en matchs aller-retour.
Les huit premiers se qualifient pour les séries éliminatoires, dont le vainqueur sera sportivement promu en Ligue Magnus.
Chaque tour des séries éliminatoires se joue au meilleur des cinq matchs (matchs 1 et 2 chez le mieux classé de la phase régulière, matchs et 3 et 4 chez le moins bien classé, match 5 chez le mieux classé).
Les quatre derniers jouent une phase de relégation, entre le et le . Cette phase est un mini-championnat en matchs aller-retour à l'issue duquel les deux derniers sont relégués en Division 2.
Résultats
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier.
Les séries éliminatoires se jouent du au . Les 8 équipes les mieux classées à l'issue de la saison régulière sont qualifiées pour les quarts de finale des séries éliminatoires. Chaque tour se dispute au meilleur des 5 matches. Le vainqueur de la finale est sacré champion de Division 1 et est promu en Ligue Magnus.
Les deux premiers sont joués chez l'équipe la mieux classée, les deux suivants chez la moins bien classée et le dernier chez la mieux classée[14].
Bonnardel (Farina, Casini) — 1 min 44 s - Piacentini (André, Demers) — 32 min 30 s Seed (Piacentini, Drolet) — 33 min 53 s (2 SN) - Campbell — 59 min 44 s (CV)
1-0 1-1 2-1 3-1 3-2 4-2
- Hordelalay (Míka, Saliji) — 24 min 45 s (SN) - - Gabaj (Dubé, Hordelalay) — 58 min 4 s
Arbitrage : Jérémy Rauline Juges de lignes : Eric Briolat et Leevan Thiebault
Blažek
Gardiens
Sopko
8 min
Pénalités
6 min
29
Tirs
18
Poule de maintien
Les quatre derniers de la saison régulière s'affrontent dans une poule de relégation sous le format d'un mini-championnat en matches aller-retour à l'issue duquel les deux derniers sont relégués en Division 2. Les résultats des confrontations entre chaque équipe durant la saison régulière sont conservés.
Résultats
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier.
Nota concernant les points : Le nombre de points indiqué correspond au cumul de points entre la saison régulière et la phase de relégation. Le nombre de points acquis en poule de maintien figure entre parenthèses.
Division 2
Équipes engagées
Les équipes engagées en Division 2 sont donc au nombre de vingt (dont deux équipes réserves). Elles sont réparties en deux poules de dix :
Les huit premiers de chaque poule se qualifient pour les séries éliminatoires. L'ensemble des tours se dispute au meilleur des 3 matches ; la 1re rencontre se joue chez l'équipe la moins bien classée, la 2e et éventuellement la 3e chez la mieux classée. Le vainqueur de la finale est sacré champion de Division 2. Il est promu en Division 1, de même que le finaliste vaincu.
Les deux derniers de chaque poule jouent une phase de relégation, entre le et le . Cette phase est un mini-championnat en matchs aller-retour à l'issue duquel les deux derniers sont relégués en Division 3.
Poule A
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier[15].
Les séries éliminatoires se jouent du au . Les 8 équipes les mieux classées de chaque poule à l'issue de la saison régulière sont qualifiées pour les huitièmes de finale des séries éliminatoires. L'ensemble des tours se disputent au meilleur des 3 matches. Le vainqueur de la finale est sacré champion de Division 2 et est promu en Division 1 avec le finaliste.
Chautant (Cvetek, Gervais) — 8 min 34 s (SN) - Devaney (Brejka) — 38 min 37 s - Devaney (Gervais) — 62 min 7 s
1-0 1-1 2-1 2-2 3-2
- Stoklasa (Kalinovic, Pék) — 11 min 33 s - Kalinovic — 59 min 34 s (JS) -
Arbitrage : Didier Drif Juges de lignes: Thomas Leonard et Raphaël Rohwedder
Hurajt
Gardiens
Pék
14 min
Pénalités
10 min
Poule de maintien
La poule de maintien se joue du au . Les équipes placées au-delà de la huitième place de chaque poule participent à la phase finale de maintien, qui se déroule sous forme de poule où toutes les équipes se rencontrent en match aller – retour, un classement de 1 à 4 est établi suivant les modalités applicables à la saison régulière.
Résultats
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier.
Les trente équipes engagées, dont treize équipes réserves et une équipe basée au Luxembourg, sont réparties en quatre groupes régionaux (le 2 suivant le nom d'une équipe indique qu'il s'agit d'une équipe réserve) :
L'équipe professionnelle d'Épinal est mise en liquidation, l'association prend le relais.
Saison régulière
La saison régulière se joue du au .
Les trente équipes engagées sont réparties en quatre poules (de sept ou huit équipes), les matchs se jouent en aller-retour.
Les quatre qualifiés pour le carré final sont rassemblés au sein d'une poule unique qui se joue en matchs simples. L'équipe finissant à la première place est sacrée championne de Division 3. Le champion et le deuxième sont promus en Division 2.
Pour l'attribution des points, voir la section « Règlement » ci-dessus.
Groupe A
Le score de l'équipe à domicile, située dans la colonne de gauche, est inscrit en premier.
Tableau de résultats — mise à jour : septembre 2018
Des modifications interviennent durant l'intersaison. Ainsi il n'y a plus 4 mais 6 qualifiés par poule pour les phases finales. Les deux premiers de chaque poule s'affrontent en match d'interclassement et les équipes classées entre la 3e et la 6e place jouent quant à elles des matchs de barrage. Toutes ces rencontres se jouent sur des matchs aller-retour.
Durant les séries éliminatoires qui se jouent en matchs aller-retour (ainsi quand il y a match nul au premier match, il n'y a pas de prolongation, le score est conservé tel quel), le score cumulé désignant le vainqueur. Les vainqueurs des barrages sont opposés aux 8 équipes ayant disputé les matchs d'interclassement.
Lors du tour préliminaire et des huitièmes de finale, les qualifiés du groupe A affrontent ceux du groupe B et ceux du groupe C sont opposés à ceux du groupe D.
En quart de finale le brassage est total.
Les quatre qualifiés pour le carré final sont rassemblés au sein d'une poule unique qui se joue en matchs simples. L'équipe finissant à la première place est sacrée champion de Division 3, elle est promue en Division 2 avec l'équipe classée deuxième du carré final.
Tour préliminaire
Le match aller se joue chez l'équipe la moins bien classée à l'issue de la phase de poule.
en italique : les équipes ne pouvant pas être promues
en italique : les équipes ne pouvant pas être promues
Carré final
Les équipes qualifiées pour la poule finale, sont identifiées par les lettres A, B, C et D correspondant à leur classement en saison régulière. Les poules n'étant pas égales en nombre d'équipes (2 poules de 7 et 2 poules de 8), les résultats obtenus face au huitième de poule sont retirés pour établir ce classement[16]. L'équipe organisatrice du carré final se voit automatiquement attribuer la lettre A. L'ordre des matchs pour ce carré final est le suivant :
1er jour : B - C, A - D
2e jour : B - D, A - C
3e jour : C - D, A - B
Voici les équipes qualifiées ainsi que leur lettre :
- A. Uola (N. Uola, Place) — 13 min 22 s - N. Uola (Y. Maillot, A. Uola) — 26 min 7 s (SN) - Segura (Hamdan, Prudent) — 35 min 30 s Prudent (Domalain) — 38 min 29 s Y. Maillot — 54 min 12 s Y. Maillot (N. Uola, Place) — 54 min 41 s
0-1 1-1 1-2 2-2 2-3 3-3 4-3 5-3 6-3
Merbah (Landau, Fullerton) — 6 min 7 s - Rives (Casini, Drzik) — 20 min 44 s - Drzik (Merbah, Rives) — 35 min 8 s (SN) - - - -
Arbitrage : Philippe Frossard Juges de lignes : Johan Kirschenbaum et Justin Chouleur
Plch (Rapenne, Vlad) — 2 min 31 s - Rapenne — 22 min 51 s (SN) Vlad (Rapenne) — 27 min 9 s Plch (M. Charpentier) — 27 min 32 s (SN) Plch — 29 min 1 s (SN) Ganz (Plch, Rapenne) — 33 min 41 s (SN) - M. Charpentier — 41 min 4 s Ganz (M. Charpentier) — 45 min -
1-0 1-1 2-1 3-1 4-1 5-1 6-1 6-2 7-2 8-2 8-3
- D'Orazio (Moncenix, Fribault) — 10 min 53 s (SN) - - - - - Legon — 39 min 40 s - - Moncenix (P. Perrée, Rey-Gaurez) — 46 min 49 s
Arbitrage : Florian Aurat Juges de lignes : Jason Thorrignac et Johan Fauvel
- A. Uola (Y. Maillot, Place) — 14 min 15 s - Segura (Y. Maillot, Samyn) — 22 min 49 s (SN) N. Uola (Y. Maillot, Place) — 24 min 48 s - - - Segura (N. Uola, Y. Maillot) — 37 min 23 s (SN) Y. Maillot (A. Uola, N. Uola) — 39 min 30 s (IN) -
0-1 1-1 1-2 2-2 3-2 3-3 3-4 3-5 4-5 5-5 5-6
Fribault (Rey-Gaurez, Moncenix) — 13 min 11 s (SN) - Tollet (Domenach, Puthod) — 21 min 22 s - - Rey-Gaurez — 26 min 38 s (SN) Tollet (Rey-Gaurez) — 29 min 51 s (2 SN) Legon — 30 min 49 s - - Rave — 58 min 19 s (SN)
Arbitrage : Florian Aurat Juges de lignes : Johan Kirschenbaum et Justin Chouleur
Benchabane (Pernot) — 2 min 20 s (SN) Ganz (Plch, Pernot) — 14 min 49 s - Plch (Pernot) — 32 min 54 s Plch (Ganz, Pernot) — 33 min 39 s Chassard (Vlad, Rapenne) — 34 min 19 s Chassard (Rapenne, Plch) — 45 min 46 s (SN) Pernot (Plch) — 47 min 33 s -
1-0 2-0 2-1 3-1 4-1 5-1 6-1 7-1 7-2
- - Pagni (Casini) — 27 min 14 s (SN) - - - - - Merbah (Capocci) — 52 min 8 s
Arbitrage : Philippe Frossard Juges de lignes : Jason Thorrignac et Johan Fauvel
Rapenne (Chassard, Vlad) — 4 min 1 s (SN) Donnet (Plch, Benchabane) — 5 min 42 s (SN) - Plch (Pernot) — 11 min 3 s Rapenne (Gury) — 19 min 46 s Breton (Syrucek) — 27 min 52 s - Chassard (Vlad) — 35 min 35 s (SN) Chassard (Rapenne) — 38 min 19 s Plch — 41 min 20 s - Benchabane (Pernot, Plch) — 50 min 36 s -
↑Christer Eriksson prend du recul en laissant la place d'entraîneur à Yorick Treille qui arrête sa carrière. Il devient manager général de l'équipe[3].
↑À la suite de la liquidation judiciaire d'Epinal, le club de Strasbourg est repêché en Magnus[4].
↑Bordeaux est sanctionné d'un retrait de 9 points pour avoir dépassé la masse salariale autorisée[7].
↑À la suite du repêchage de Strasbourg en Magnus, le club de Marseille est promu en D1[12].
↑Pour des raisons de disponibilité de la patinoire de Cergy-Pontoise (l'Aren'Ice), le début de la série est inversé. Cholet accueillera les matches 1 et 2, tandis que Cergy-Pontoise recevra le match 3, et les matches 4 et 5 si nécessaires.
↑ abcdef et gLe match 1 est gagné en prolongation.
↑À la suite du repêchage de Strasbourg en Magnus, Marseille est promu en D1 et Limoges initialement relégué est repêché[12].
↑À l'issue du temps réglementaire du deuxième match, Asnières menait 7-4. Après le 1-4 du match aller, les équipes sont alors à égalité (8-8) sur l'ensemble des 2 matches. Ainsi, le deuxième match est suivi d'une prolongation lors de laquelle Asnières marque et gagne donc sa série.
↑À l'issue du temps réglementaire du deuxième match, Toulon menait 4-3. Après le 5-6 du match aller, les équipes sont alors à égalité (9-9) sur l'ensemble des 2 matches. Ainsi, le deuxième match est suivi d'une prolongation lors de laquelle Toulon marque et gagne donc sa série.
↑À l'issue du temps réglementaire du deuxième match, la Roche-sur-Yon menait 4-2. Après le 4-6 du match aller, les équipes sont alors à égalité (8-8) sur l'ensemble des 2 matches. Ainsi, le deuxième match est suivi d'une prolongation et de tirs de fusillade lors desquels Toulon marque et se qualifie pour le carré final.
↑L'équipe première d'Annecy évoluant en Division 2, l'équipe II ne peut être promue.