Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiquesCentre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques
Le Centre de recherche et d'information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques (CRIIREM) est une association dont le but est d'informer sur les effets des champs électromagnétiques sur les biens et les personnes. Fondation et organisationLes membres fondateurs sont Michèle Rivasi, Madeleine Madore, Catherine Gouhier, Pierre le Ruz, Roger Santini et Maxence Layet. Le bureau est composé de cinq membres :
Les revenus proviennent principalement des adhésions et des dons de ses membres. Elle propose aussi de réaliser des mesures de champs électromagnétiques, afin de les comparer à celles avancées par les opérateurs mobiles[1]. Les bénévoles peuvent aussi animer des conférences. ObjectifsL'objectif de la structure est d'apporter une information indépendante de l'industrie et de l'administration quant à la protection des populations en matière de champs électromagnétiques artificiels, c’est-à-dire :
Principaux sujets d'actionsTéléphonie mobileLa structure considère les normes internationales d’exposition aux champs électromagnétiques de la téléphonie mobile, issues de recommandations d’organismes internationaux tels que l’OMS, comme trop peu exigeantes. Elle considère que dans le cadre de la gestion des risques, il faut se référer aux recommandations scientifique les plus faibles (0,6 V/m) Wi-FiElle s’inquiète aussi du Wi-Fi considérant qu’en mode Wi-Fi, le terminal émet des ondes pulsées à 2 450 MHz, la fréquence optimum pour agiter les molécules d'eau - c'est-à-dire exactement celle utilisée par un four à micro-ondes"[2]. La technologie utilisée par de plus en plus de terminaux divers participe à augmenter le niveau d'exposition global. Lampes basse consommationElle alerte aussi sur les champs électromagnétiques des lampes fluorescentes (ou basses consommation). La structure « déconseille de les utiliser sur les lampes de bureau et les lampes de chevet et partout où les lampes sont le plus souvent à moins d'un mètre des personnes »[3]. CritiquesL'activité et les conclusions de la structure font l'objet de critiques[4],[5] venant en écho aux controverses relatives à la sensibilité électromagnétique, alors que la communauté scientifique s'accorde sur un constat d'innocuité[6],[7], [8]. Références
AnnexesArticles connexes
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