Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de mars 2015. Le canton de Notre-Dame-de-Bondeville est conservé et s'agrandit. Il passe de 9 à 24 communes[2].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, trois binômes sont en ballottage : Guillaume Coutey et Agnès Largillet (Union de la Gauche, 31,27 %), Stéphane Favre et Corinne Throude (FN, 29,02 %) et Sylvain Bulard et Sophie Nicolle (Union de la Droite, 26,66 %). Le taux de participation est de 50,73 % (16 397 votants sur 32 321 inscrits)[5] contre 49,48 % au niveau départemental[6] et 50,17 % au niveau national[7].
Au second tour, Guillaume Coutey et Agnès Largillet (Union de la Gauche) sont élus avec 41,5 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 51,46 % (6 589 voix pour 16 634 votants et 32 322 inscrits)[8].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[9]. Dans le canton de Notre-Dame-de-Bondeville, ce taux de participation est de 32,02 % (10 311 votants sur 32 203 inscrits)[10] contre 32,19 % au niveau départemental[11]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Guillaume Coutey et Agnès Largillet (PS, 49,94 %) et Julie Brohee et Christopher Genet (RN, 21,4 %)[10].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[12], 32,06 % dans le département[11] et 32,4 % dans le canton de Notre-Dame-de-Bondeville[10]. Guillaume Coutey et Agnès Largillet (PS) sont élus avec 73,67 % des suffrages exprimés (7 164 voix pour 10 433 votants et 32 203 inscrits)[10],[13],[14].
Composition
Composition avant 2015
Le canton de Notre-Dame-de-Bondeville regroupait 9 communes[1].
Liste des communes du canton avant le redécoupage de 2014
En 2021, le canton comptait 43 088 habitants[Note 2], en évolution de +2,03 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
(Sources : Base Insee, population municipale à partir de 2013[17].)
Notes et références
Notes
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[4].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.