Chef d’orchestre invité durant plusieurs années consécutives à participer Festival de Bayreuth[4], qui met en exergue l’œuvre musicale de Richard Wagner, il y dirige les opéras suivants :
Au cours des nombreux concerts et récitals qui ponctuent sa carrière, il collabore également avec plusieurs artistes et solistes renommés dont, notamment :
(es) Albert Vilardell (photogr. Rafa Martín), « Giacomo Puccini : Madame Butterfly », Scherzo, Madrid, Scherzo editorial S.L. – C/Cartagena, 10. 1 °C . 28028 Madrid, revista de música, vol. año XXIV « Mitsuko Uchida : sabia y libre », no 246, , p. 96 (ISSN0213-4802, lire en ligne [PDF])
↑ a et bDe 1953 à 1967, soit durant plus de 14 saisons consécutives, le nombre de prestations orchestrales au Wiener Staatsoper placées sous la baguette de Berislav Klobučar se chiffre à 1133 représentations, réparties sur 56 opéras[1].
↑ a et b(de) En allemand : Schlusszene — (fr) En français : scène finale
↑Tout renseignement additionnel, permettant de dater cette photo d’Elisabeth Schwarzkopf — signée Max Albert Wyss(de) — avec une précision accrue, serait accueilli avec reconnaissance. En l’état, les estimations fournissent une échelle de 10 ans, soit : entre 1948 et 1958. Une adéquation chronologique davantage circonscrite — et, dans la mesure du possible : scrupuleusement exacte — serait donc particulièrement bienvenue, références et sources idoines à l’appui.
— Albert Vilardell, Scherzo, revista de música, anõ XXVI, no 246, novembre 2009, p. 96[H 1]
↑ abcd et e(hr)Po zveku (glazbi) se vrieme pozna. (en) An age is known by its music. Croatian proverb. (fr) « On reconnaît une période à sa musique » ou « une ère se distingue (ou se signe) par le type de musique qu’elle popularise (ou essaime) » ou encore « c’est la musique qui permet de savoir dans quelle période l’on se situe », etc. Ce proverbe croate est consigné dans l’ouvrage de Franjo Kuhač(en)[H 2].
« Berislav Klobučar (b. 1924), one of the greatest Croatian conductors, born in Zagreb, student of Lovro pl. Matačić, started his impressive career leading the Zagreb Philharmonic Orchestra. He conducted the Vienna State Opera for more than forty years (1133 performances in 56 operas!). During ten years Berislav Klobučar directed Symphonic Orchestra and the Graz Opera. During nine years he was director of the Royal Swedish Opera in Stockholm, Sweden. During six years, Berislav Klobučar was director of Opéra de Nice and Philharmonic Orchestra in Nice, France ».
— Nenad Turkalj, Hrvatsko Slovo, 5 novembre 2004, p. 19
↑lefigaro.fr avec AFP, « Décès du chef d'orchestre Berislav Klobucar », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
« La Ville de Nice a fondé, en 1945, l’orchestre symphonique municipal de la Ville de Nice, dont elle dresse, en 1947, la structure administrative et fonctionnelle selon des bases qui vont perdurer jusqu’à nos jours. Depuis sa restructuration de 1982, sous l’impulsion de Pierre Médecin alors directeur de l’Opéra, l’Orchestre philharmonique de Nice est reconnu comme une formation musicale de premier plan. Georges Prêtre, Wolfgang Sawallisch, Marek Janowski, Berislav Klobučar, Emil Tchakarov, Zoltan Pesko, Jerzy Semkow, Michaël Schønwandt, Leopold Hager, Aldo Ceccato, Oleg Caetani, Pedro Calderon, Juan Pons, Günter Neuhold entre autres, en ont été les chefs invités ces dernières années. »
« Illustre interprète de Mozart et de Strauss, la cantatrice britannique d'origine allemande Elisabeth Schwarzkopf fut l'une des incarnations vocales les plus illustres du XXe siècle, une artiste qui aura façonné son art du chant, aura fait de l'artifice un naturel recréé et a laissé une empreinte discographique des plus déterminantes dans les domaines de l’opéra et du lied. »