En 1857, à l'âge de 27 ans, après son mariage avec Julie Watelet, fille d’un notaire, issue d'une grande famille de la ville, il s'installe en Bourbonnais à Moulins. Le couple aura deux enfants : Gustave, qui deviendra officier, et Marie.
Il est nommé en 1862 conservateur du musée municipal de Moulins. Il a aussi participé à la naissance du musée de Vendôme, sa ville natale.
« Vous avez un talent vrai et fin, le coup d’œil qui saisit le style, la touche ferme, agile et forte, beaucoup d’esprit dans le burin et beaucoup de naïveté, et ce don rare de la lumière dans l’ombre. Ce qui me frappe et me charme dans vos eaux-fortes, c’est le grand jour, la gaîté, l’aspect souriant, cette joie du commencement qui est toute la grâce du matin. Vos planches semblent baignées d’aurore. »
— Victor Hugo, alors en exil à Guernesey, s’adressant par écrit au peintre le 17 avril 1864
« Le Vieux Vendôme », Émile Galichon, Eaux-fortes de M. Queyroy avec texte de M. Bouchet, Gazette des beaux-arts, tome XXIV, février 1868, p. 194-195.
Lydia Harambourg, Dictionnaire des peintres paysagistes français au XIXe siècle, Neuchâtel, Ides et Calendes, , 360 p. (ISBN978-2-8258-0014-0), p. 291
Gaïté Dugnat et Pierre Sanchez (préf. Christian Galantaris), Dictionnaire des graveurs, illustrateurs et affichistes français et étrangers 1673-1950, vol. 5, Dijon, L'Échelle de Jacob, (ISBN978-2-913224-19-3, OCLC422119252), p. 2074-2075