Antoine Kneisky

Antoine Kneisky
Naissance
Besançon
Décès (à 26 ans)
Besançon
Nationalité Française
Profession
Autres activités
Distinctions

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Antoine Kneisky, né le à Besançon (Doubs) et mort au combat le dans la même ville, est un gardien de la paix et résistant français[1].

Dans le cadre de la Libération de Besançon[2], une bataille s'engage à Saint-Claude entre résistants et soldats allemands[3]. Engagé auprès des FFI[1],[4] mais ne participant pas directement à ce combat, Antoine Kneisky est néanmoins tué[5] par une rafale de tirs allemands alors qu'il prenait son poste aux Chaprais[3]. Il obtient des obsèques nationales à l’Institution Saint-Joseph le [3], est reconnu mort au combat et mort pour la France[1] le [3],[6]. Son nom figure sur la stèle commémorative de 1939-1945, place de la Liberté, sur la plaque de l'hôtel de police de la Gare-d'Eau, ainsi qu'à Notre-Dame de la Libération[3].

Le champion cycliste Morgan Kneisky est arrière petit-fils d'Antoine Kneisky.

Notes et références

  1. ↑ a b et c 75ème anniversaire de la Libération de Besançon, brochure éditée par la Ville de Besançon, 2019, page 12 (consulté le ).
  2. ↑ MaCommune.info, édition du  : « Hommage aux 24 résistants tués à la Libération le 1er novembre place de la Liberté à Besançon » (consulté le ).
  3. ↑ a b c d et e Biographie d'Antoine Kneisky par Jean-Louis Ponnavoy, sur le site du Maitron (consulté le ).
  4. ↑ Antoine Kneisky - Titres, homologations et services pour faits de résistance sur Mémoire des hommes (consulté le ).
  5. ↑ Antoine Kneisky - Base des victimes civiles (1939-1945) sur Mémoire des hommes (consulté le ).
  6. ↑ « Portrait du Résistant Antoine Kneisky – Vivre aux chaprais », (consulté le )