Fait chevalier de la Légion d’honneur devant Sébastopol en juin 1855, officier devant Puebla au Mexique en mai 1863, commandeur en avril 1871 après le siège de Metz de 1870, grand officier en Tunisie en juillet 1881, il est élevé, après 44 ans de services, 28 campagnes et 3 blessures de guerre, à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur, en juillet 1888, remise le 28 août 1888 par le président de la République, Sadi Carnot[1],[2].
Il meurt noyé par accident dans l'Yonne le , à l'âge de 68 ans, pendant une partie de pêche[4].
↑ ab et cNarcisse Faucon, Le Livre d'or de l'Algérie, Challamel et Cie Éditeurs, Librairie algérienne et coloniale, 1889, pp. 201-202.
↑ ab et cMichel Wattel et Béatrice Wattel, Les Grand’Croix de la Légion d’honneur : De 1805 à nos jours, titulaires français et étrangers, Paris, Archives et Culture, 2009), p. 142.
↑Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle, volume 17, numéro 2, Administration du grand Dictionnaire universel, 1866-1877, p. 1010.
↑Charles Dezobry et Théodore Bachelet, Dictionnaire général de biographie et d'histoire, C. Delagrave, 1895, p. 302
Bibliographie
Sources contemporaines
Narcisse Faucon, Le Livre d'or de l'Algérie, Challamel et Cie Éditeurs, Librairie algérienne et coloniale, 1889, pp. 201-202.
Michel Wattel et Béatrice Wattel (préf. André Damien), Les Grand’Croix de la Légion d’honneur : De 1805 à nos jours, titulaires français et étrangers, Paris, Archives et Culture, (ISBN978-2-35077-135-9), p. 142.