Une école de Limésy a reçu son nom. Une rue de Barentin porte son nom. Une résidence de Saint-Ouen-du-Breuil où il passa son enfance porte son nom. Une rue de la résidence du Canada à Quincampoix-Fleuzy (Oise) porte son nom.
Réception critique
« Élève et ami de Robert Antoine Pinchon, un des maîtres de l'École normande, dont il s'inspirera, il parvient, par la nuance de ses couleurs, à traduire la subtilité de la lumière de la Vallée de la Seine. Plantant son chevalet au hasard des itinéraires normands, il saisit sur la toile l'atmosphère fugitive qui sépare les plans et fait vibrer les tons. » - André Ruellan, critique d'art[14]
« Des couleurs fluctuantes, une mise en page heureuse : des paysages dans la lignée impressionniste et dans le luminisme de l'école de Rouen par un peintre qui a pris pour devise : "Tout voir, tout sentir : l'œuvre de l'artiste doit être impétueusement communicative". Par son enseignement (Malet a formé de nombreux paysagistes), il a assuré une continuité à l'école de Rouen. » - Gérald Schurr[15]
Claude Marumo, Albert Malet et les peintres de l'École normande, Paris, Éditions Galerie Claude Marumo, 1972.
Le Grand Livre des Rouennais : Qui est qui dans l'agglomération rouennaise ? (préf. Guy Pessiot), éd. du P'tit Normand, , 253 p. (OCLC468723694), p. 152
André Ruellan, Albert Malet, Rouen, Éditions B.D.S., 1974.