Avec l'ordre du cabinet la plus élevée (AKO) du 7 mars 1815 (jour de la fondation), il est ordonné la création d'un régiment de cuirassiers. Pour ce faire, le 1er escadron du régiment de cuirassiers de Prusse-Orientale, le 2e escadron du régiment de cuirassiers de Silésie et le 3e escadron du régiment de cuirassiers de Brandebourg doivent être cédés. Par la suite, il est renforcé par l'augmentation des effectifs pour atteindre son effectif théorique.
La nouvelle unité est nommée 4e régiment de cuirassiers et est initialement stationné à Landsberg-sur-la-Warthe et à Driesen. À partir du 17 septembre 1817, le régiment prend comme ville de garnison Halberstadt et les 1er et 4e escadrons Quedlinbourg. Le premier commandant est le major von Koschembahr.
À la suite de plusieurs changements de nom, le régiment reçoit les noms suivants au fil des ans :
le 27 mai 1819 : 7e régiment de cuirassiers (régiment de cuirassiers magdebourgeois)
le 10 mars 1823 : 7e régiment de cuirassiers
le 4 juillet 1860 : 7e régiment de cuirassiers magdebourgeois
Le 27 janvier 1889 : 7e régiment de cuirassiers « von Seydlitz » (régiment de cuirassiers magdebourgeois)
Guerres napoléoniennes
Dans la guerre contre la France napoléonienne en 1815, le régiment participe, mais n'est impliqué dans aucune activité majeure.
Le porte-drapeau de cette attaque est le sergent Wilhelm Rahmsdorf(de), il est représenté sur le monument de la victoire de Quedlinbourg(de) en 1895 comme une sculpture équestre grandeur nature. C'est la première fois qu'un simple soldat est représenté comme une sculpture équestre.
Première Guerre mondiale
Au début de la Première Guerre mondiale, le régiment participe aux batailles frontalières en Belgique neutre après avoir quitté le pays. Puis il participe à la bataille de la Marne et se replie derrière l'Aisne. À partir de l'automne 1914, il se déplace sur le front de l'Est avec des combats en Pologne russe, en Courlande, en Lituanie et en Roumanie jusqu'au début de 1917. Au début de 1917, il se déplace vers l'ouest et abandonne ses chevaux, le régiment perd son statut de cavalerie et se transforme en régiment de tirailleurs de cavalerie. Il combat dans la guerre de tranchées en Belgique et en Lorraine jusqu'en avril 1918. Ensuite, il combat dans la guerre des tranchées en Flandre et dans la ligne Siegfried.
Après-guerre
Après la fin de la guerre, le régiment arrive le 19 décembre 1918 à Halberstadt, où il est démobilisé et dissout. À partir des restes de l'unité, une formation de volontaires est constituée pour prendre part aux combats contre les insurgés polonais dans les pays baltes.
Cette troupe est ensuite incorporée dans le 10e régiment` de cavalerie de la Reichswehr provisoire et déménage à Torgau en mars 1920.
Jusqu'en 1912, un roller blanc et un pantalon de démarrage blanc sont également portés sur le terrain. Les officiers sont équipés d'épaulettes, les sous -officiers et les hommes d'épaulettes. Il y a aussi des bottes de cuirassier noires (appelées bottes de canon) et le casque de cuirassier en métal poli avec des décorations en laiton et une bandoulière blanche avec une cartouche noire. La couleur de l'insigne est jaune citron. Une cuirasse en métal blanc en deux parties est également mise pour les défilés. Pour le service normal, les cuirassiers portent une tunique bleu foncé. En tant qu'uniforme de la société, celui-ci est équipé d'épaulettes et de franges pour les officiers. Cela comprend une casquette à visière blanche avec une bordure jaune citron.
Les galons, les boutons et les volants sont de couleur argentée.
Déjà ordonné par l'A.K.O. du 14 février 1907 et introduit progressivement à partir de 1909/1, l'uniforme coloré est remplacé pour la première fois par l'uniforme de service sur le terrain gris (M 1910) à l'occasion de la manœuvre impériale de 1913. Celui-ci ressemble entièrement à l'uniforme de paix. Le cuir et les bottes sont de couleur marron naturel, le casque est recouvert d'un tissu de couleur écaille. Le ruban et le cartouche ne sont plus portés avec cet uniforme.
Bibliographie
Hugo F.W. Schulz: Die Preußischen Kavallerie-Regimenter 1913/1914. Weltbild Verlag 1992.
Hein: Das kleine Buch vom Deutschen Heere. Lipsius & Tischer Verlag, Leipzig 1901.
Victor Köhler (Bearb.): Das Kürassier-Regiment von Seydlitz (Magdeburgische) Nr. 7.Seine Geschichte. Selbstverlag des Vereins der Offiziere des ehemaligen Kürassier-Regiment Nr. 7. Hannover 1935.
Stammliste der Königlich Preussischen Armee seit dem 16ten Jahrhundert bis 1840.S. 154–155.