André Breton accorde un entretien télévisé pour Radio-Canada[3].
Jorge Camacho rencontre André Breton à l'occasion de son exposition à la galerie Cordier, à Paris. Breton le salue d'emblée comme « un de ceux qui ont le plus et le mieux à dire. »[4].
À New York, exposition Surrealist intrusion in the enchanters domain, organisée par André Breton et Marcel Duchamp[5].
La Passion du temps, sculpture en marbre de Carrare. André Breton : « Originellement préposée sans intermédiaire à la cueillette, la main était faite de toute sa pulpe, de tous ses nerfs, pour apprécier, au besoin sans le secours de l'œil, ce qui peut, aussi bien d'emblée qu'à retardement, répondre au désir… Si habile soit-elle - comme un libellule - la main de Cardenas, pour notre bonheur, en reste à ce stade hautement privilégié. »
La Clé, poèmes : « La vraie liberté sera transmutation / sera rien qu'agitation / de cage en cage / Serait-ce faiblesse de ma part / que de vouloir insérer l'humour / dans ce besoin de blesser / un certain penchant de l'homme / pour les chants d'amour les contes de fées / les châteaux de cartes… ? »[16]
↑Avec Judith Jasmin, réalisation Gérard Chapdeleine. Pas de date précise, fin 1959 ou janvier 1960. mais Breton évoque la mort de Benjamin Péret survenue « il y a trois mois », (le 18 septembre 1959). L'entretien sera diffusé le 27 février 1961. En complément de programme du DVD, L'Invention du monde, film de Michel Zimbacca et Jean-Louis Bédouin (1952), réédité en 2010 et André Breton, OC4, p. XXXIII.
↑40 × 136 cm. Musée d'arts, Nantes (Loire-Atlantique). Reproduction dans (fr + en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ? (catalogue de l'exposition présentée du 31 mars au 10 septembre 2023 au Musée de Montmartre-Jardins Renoir), In fine/Musée de Montmartre, (ISBN978-2-38203-116-2), p. 107.