À Florence, les statuts de l'Arte dei Medici e Speziali, corporation des médecins et apothicaires reconnue dès 1266 et qualifiée d'« art majeur » depuis 1293, « autoris[ent] les apothicaires à avoir dans leur boutique des médecins pour soigner les malades[2] ».
↑Laurence Moulinier, « Un flacon en point de mire : La Science des urines, un enjeu intellectuel dans la société médiévale (XIIIe – XVe siècles) », Annales : Histoire, sciences sociales, vol. 65, no 1, , p. 11-37 [§ 12] (lire en ligne).
↑« Fondation de l'hôpital d'Aubonne » (actes anciens, P 12.5 (no 710-727), sur Panorama : Inventaire général, site des Archives communales vaudoises avant 1961, consulté le 27 janvier 2017 (lire en ligne).
↑Fabien Dorémus, « Les Secrets de l'invisible église Saint-Sulpice », Le Téléscope d'Amiens, (lire en ligne).
↑M. C., « Une première pierre pour le nouvel hôpital d'Obernai », sur France 3 actualités, région Alsace, 29 novembre 2016 (lire en ligne).
↑(en) William Page(en), The History of the County of Lincoln, vol. 2, Londres, British History on Line, (1re éd. 1906 [Victoria County History]) (lire en ligne), « Hospitals : Louth », p. 234.
↑« Robert Boeglin, L'Évolution historique de la pharmacie en Alsace : Strasbourg [compte rendu] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 27, no 108, , p. 197 (lire en ligne).
↑Pierre Huard, « À propos du Tenk Suk Name (Tenksuq nameh) », Méridiens : Revue de l'Association scientifique des médecins acupuncteurs, nos 37-38, , p. 11 (lire en ligne).