Capitaine-lieutenant des gendarmes de la garde, créé commandeur de l'ordre de Saint-Louis le de la même année 1814, pair de France le [2] : il vote pour la mort dans le procès du maréchal Ney. « Aucun souvenir n'est attaché au rôle parlementaire du comte de Durfort, dont la carrière conserva un caractère essentiellement militaire »[3].
Il est inhumé au cimetière Montmartre, 19e division, la tombe est orientée face au viaduc Caulaincourt, partie haute de la division (sur la droite du monument de Zola)
Couronne ducale sur l'écu, et couronne de comte sur le manteau de pair[10].
Ascendance et postérité
Le comte de Durfort a épousé, le [4], Henriette Étiennette Claude Denise (1761 - Paris, ), fille de Denis Philibert Thiroux de Montsauge (1715-1786), fermier général, administrateur des Postes, et de Antoinette Bouret (1746-1813). De ce mariage est issue :
(1°) Étienne Alexandre Hector de Galard de Brassac de Béarn ( - ), officier de hussards, appelé, par ordonnance royale du , à succéder à la pairie du comte de Durfort, son aïeul maternel[4], marié le avec Camille Louise Denise Le Sage d'Hauteroche d'Hulst (1815-1894), dont postérité ;
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
« Louis-Philippe De Durfort, comte de Deyme », dans Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. VIII, , 378 p. [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 297-298 ;