Il est le fils d'Emmanuel-Louis Gruner, polytechnicien et ingénieur, auteur, en 1862, d'un ouvrage, L’État présent de la métallurgie du fer en Angleterre[1].
Il est également président de plusieurs associations, notamment la Société de l'industrie minérale (de 1921 à sa mort) et l'association des anciens élèves des Mines de Paris[5].
« Les Associations et syndicats miniers en Allemagne et principalement en Westphalie », Paris, Chaix, 1887, 81 p.
« L'Assurance contre la vieillesse et l'invalidité en Allemagne, d'après l'avant-projet du gouvernement », Paris, L. Warnier, 1888, 62 p.
« Création de l'usine Saint-Montant, près Beaucaire », Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, Paris, t. 8, no 25, , p. 389-394 (lire en ligne, consulté le )
Références
↑Emmanuel-Louis Gruner (1809-1883), notice sur le site de l'école des mines de Paris [lire en ligne]
↑ a et bÉdouard Emmanuel Gruner (1849-1933), notice sur le site de l'école des mines de Paris [lire en ligne]
↑Sandrine Kott, Une « communauté épistémique » du social ? Experts de l’OIT et internationalisation des politiques sociales dans l’entre-deux-guerres, Genèses, no 71 2008/2, Belin, p. 26-46.
↑«Création de la Maison des Mines — AG de la Maison des Mines (23 Mars 1934) », sur annales.org (1929-1934) [1]
Ferdinand Mathias, Société industrielle du Nord de la France : Communication de M. Gruner à l'assemblée générale des adhérents à l'Association des industriels de France pour préserver les ouvriers des accidents du travail, Lille, L. Danel, 1887, 14 p.