Elle est morte à Mamoudzou le lors d'affrontements avec la garde comorienne[1],[2].
L'écrivain mahorais Alain-Kamal Martial lui a consacré une pièce de théâtre, publiée en 2004[3],[4]. Le marché couvert de Mamoudzou a pris son nom en 2014[2].
↑Andry Rakotondravola et Emmanuel Tusevo, « Hommage à Zakia Madi, une combattante - chatouilleuse de la lutte pour Mayotte française », Mayotte 1re (radio), (lire en ligne)
Mayotte 2013-2014, Petit Futé, (lire en ligne), p. 108 .
Philippe Boisadam, Mais que faire de Mayotte ? : analyse chronologique de l'Affaire de Mayotte, 1841-2000, Éditions Harmattan, (lire en ligne), p. 100, 107, 487.
Gilles Nourault et François Perrin, Mayotte : guide touristique et culturel, Orphie, (lire en ligne), p. 127-128, 281.